Kevin Spacey, Jeremy Irons et l'acteur de « The Mentalist » sont à l'affiche de « Margin Call », huis clos sur les 36 heures de 2008 où tout a basculé.

Redford naufragé en mer dans un survival radical - pas de dialogues - et habile.

Robert Redford, de retour sur les écrans avec "All Is Lost" de J.C. Chandor, est l'acteur du juste milieu. Un style de jeu qui tient aussi du programme politique.

Thriller en trompe l'oeil, "A Most Violent Year" de J. G. Chandor remonte aux sources cachées de la crise économique.

Une nuit dans une banque d'affaires, la veille du krach d'octobre 2008. Haletant.

Avec son premier film, « Margin Call », J.C. Chandor s'était instantanément imposé comme la nouvelle révélation du cinéma américain indépendant. La question était alors de savoir si ce réalisateur presque sorti de nulle part, et qui avait réalisé dès son premier essai un film impressionnant d'intelligence et de maîtrise, allait pouvoir confirmer avec sa deuxième oeuvre. « All is lost » est une confirmation : ce film impose véritablement Chandor parmi les nouveaux grands talents du cinéma mondial.

Dans le deuxième film de J.C. Chandor, le héros, dont le voilier a été éperonné par un container, se retrouve seul en mer, en pleine tempête. Robert Redford ferait-il ses adieux ? Réponse

« All Is Lost », de J.C. Chandor, rappelle qu'avant d'être la figure de proue du festival de Sundance et des écolos américains, Robert Redford reste surtout la dernière star de sa trempe à bord.