Hillary Clinton n'enthousiasme guère New York, pourtant très démocrate. A gauche, certains, comme la féministe Nancy Fraser, professeur de théorie politique à la New School, lui sont même franchement hostiles.

Si Hillary Clinton est élue, elles seront trois. Trois femmes parmi les dirigeants des six pays les plus puissants du monde. Une situation historique et porteuse d'espoirs. Sommaire. Le dessein de Hillary Clinton. Theresa May héroïne malgré elle. La superpuissance d'Angela Merkel. L'érection du sexe faible.

Rien n'est encore joué, mais, de primaire en primaire, les deux favoris pour l'élection présidentielle de novembre 2016 commencent à émerger. Impossible d'imaginer personnalités plus dissemblables !

Depuis vingt ans, les Noirs américains soutiennent sans faiblir les ambitions présidentielles du couple Clinton. Or, pour la première fois, des divergences apparaissent. Surtout chez les plus jeunes.

Dans la course à la Maison Blanche, la démocrate Hilary Clinton affrontera le républicain Donald Trump, en novembre 2016. Entre ces deux-là, que tout oppose, la lutte s'annonce farouche, et tous les coups, bas ou tordus de préférence, seront permis.

Il est le "Monsieur Afrique" de Hillary Clinton. Sa priorité : les pays anglophones. Son chouchou : le Nigeria. Et, il le fait savoir haut et fort, il n'aime pas les présidents qui s'accrochent au pouvoir.

On imagine mal l'ancien président jouer les potiches si Hillary était élue. Mais comment va-t-il s'accommoder de cette situation inédite et aider son épouse sans la gêner ?

Perception, réseaux, stratégie, lobbying... Comment le Maghreb et le Moyen-Orient vivent et anticipent le duel entre les deux candidats à la Maison Blanche. Sommaire. Algérie : business as usual. Tunisie : l'amie Hillary. Maroc, Mohamed Tozy : "Trump, une sorte d'ogre inconnu". Moyen-Orient : paradoxes et théâtre d'ombres.

Kennedy-Nixon, Carter-Ford, Reagan-Mondale, Bush-Gore... Leurs duels télévisés ont marqué l'histoire de la présidentielle. Phrases assassines, traits d'humour ou gaffes : au tour de Clinton et Trump de jouer.

Conscients du poids des Africains-Américains, qui s'étaient mobilisés en faveur d'Obama en 2008 et 2012, Clinton et Trump se démènent pour obtenir leurs voix. Pour le républicain, ce n'est pas gagné...