Militante de l'organisation pacifiste Women Wage Peace, la Franco-Israélienne Pascale Chen pense que les femmes doivent participer à la résolution du conflit. À l'image des Irlandaises, qui ont contribué activement à la signature des accords de paix.

La guerre Israël-Hamas libère l'expression de l'antisémitisme en France, dans une relative indifférence. Le sociologue Michel Wieviorka replace ce phénomène dans le temps long.

Composé de journalistes israéliens et palestiniens, le site d'informations +972 poursuit le dialogue à l'heure où chacun est sommé de choisir son camp. Reportage en Israël.

Le conflit Israël-Hamas se joue aussi sur les écrans. Smartphones et Internet facilitent la diffusion en masse de scènes de violence et de désolation. Photos et vidéos déferlent en flux continu, utilisées comme de véritables armes. Comment résister à leur impact ?

La polémique provoquée par la blague de Guillaume Meurice le confirme. Alors que l'actu déchire l'opinion, faire de l'humour est périlleux. Une forme d'autocensure s'est-elle installée ? Les réponses de chroniqueurs radio et télé. Sommaire. Humour, on ferme les vannes ? Le rire à rude épreuve.

Depuis l’attaque du Hamas, Delphine Horvilleur, rabbin, femme de dialogue, est ébranlée. De voir les haines se déchaîner, les digues contre l’antisémitisme céder… Elle l’exprime dans un cri du coeur bouleversant.

Sous couvert de répondre à des événements violents, le régime de Benyamin Netanyahou mène une stratégie de rétorsion technologique contre les habitants de Cisjordanie, entre contrôle et restrictions.

Pour Jean-Paul Chagnollaud, l'attaque du Hamas a réussi à replacer la question palestinienne comme une question centrale au Moyen-Orient, alors qu'elle avait été marginalisée.

Alors que la réponse israélienne aux attaques terroristes du Hamas, qui ont fait plus de 1 300 morts, est considérée par certains observateurs comme le début d’un « génocide », la ministre des Affaires étrangères française a entamé son voyage au Proche-Orient et réaffirmé son soutien sans réserve à l’État hébreu, à rebours de la position diplomatique historique de la France

Alors que la menace d’un embrasement régional du conflit israélo-palestinien s’accroît, le Pays du cèdre replonge 17 ans en arrière. L’armée israélienne et le Hezbollah s’étaient livré une guerre de 33 jours provoquant la mort de 1 200 Libanais, en majorité des civils, et de 160 Israéliens. À Beyrouth, les habitants redoutent le pire.

Quelle est l'onde de choc du 7 octobre dans la société israélienne ? Le pays est-il prêt à donner un blanc-seing à son armée et son gouvernement ? Ou existe-t-il, malgré tout, un chemin vers la paix ? Les explications de Thomas Vescovi, chercheur en histoire contemporaine, spécialiste du Proche-Orient.

Depuis le 7 octobre, le Liban, qui partage sa frontière sud avec Israël et héberge le Hezbollah, allié du Hamas, vit figé dans une attente insoutenable qui réveille les traumatismes des lourds conflits passés. Y aura-t-il, encore une fois, la guerre ? Et si oui, comment faire pour s'échapper ?