La désinvolture des ultras religieux vis-à-vis de la pandémie crispe la société entière, contrainte de se reconfiner à cause d'une nouvelle vague.

Alors que l'épidémie recommence à galoper en France, l'urgence est de définir une stratégie plus claire afin de l'enrayer.

Le retour à une vie "normale", sans masques ni gestes barrières, nous le devrons au futur vaccin contre le Covid-19. C'est désormais une évidence. Mais pouvons-nous faire confiance aux scientifiques qui planchent dessus? Et aux laboratoires? Quels sont les points aveugles des antivaccins? Quant à Didier Raoult, qui a porté les critiques les plus virulentes contre le monde de la recherche médicale, dont certaines sont justifiées, est-il lui-même exempt de tout reproche? Sommaire. Les secrets des vaccins à venir. Fast & Furious dans les labos. Essais cliniques, trucage, mode d'emploi.

La pandémie de Covid-19 apparaît comme un miroir de la situation de l’Eglise catholique, aussi bien dans le champ liturgique, dans celui de la solidarité et dans celui du fonctionnement ecclésial. Le tableau est contrasté. Des habitudes cléricales ont cohabité avec des initiatives plus « synodales ». Des leçons sont à en tirer pour aller toujours davantage vers une « Eglise en sortie ».

Bien malin ou devin, ou carrément imprudent, qui pourrait répondre à la question posée par ce numéro ? Entre le « dès demain » et le « plus jamais », nos coeurs balancent au-dessus du vide et notre moral est en berne. Au bout d’une année d’inquiétude, de peurs, d’atteintes à nos vies, on se prend à douter qu’un jour l’épidémie sera derrière nous, et un avenir sinon radieux, mais débarrassé de variants divers et variés, devant nous.

Avec moins de 2000 nouveaux cas de Covid-19 par jour, la Péninsule n'est pas aussi touchée que ses voisins. La cohérence des mesures sanitaires et le sérieux de la population peuvent l'expliquer.

Quel rôle les plus jeunes jouent-ils dans la circulation du virus ? Les scientifiques n'ont toujours pas de réponse claire à cette question. Explications.

« Pandémie », « guerre contre le virus », « état d’urgence sanitaire »... Ce que nous vivons depuis le mois de mars est unique. La présence du virus, le vocabulaire utilisé et les mesures prises par les autorités ont créé un climat de crainte, de peur, voire d’angoisse. Un contexte qui aurait pu induire un afflux dans les services d’hospitalisation psychiatriques. Pourtant, l’auteur de cette chronique assure le contraire.

La reprise des contaminations a taillé en pièces les promesses du nouveau gouvernement. Ainsi, les décisions continuent de tomber d'en haut, et les incuries de l'Etat de peser sur la vie des citoyens. Sommaire. Covid-19 : les révoltés de la deuxième vague. Les 7 familles de récalcitrants. Entretien avec Jean Viard : "Quand il y a urgence, l'Etat ne sait qu'être jacobin". A Aix et Marseille, le jour de fermeture est arrivé. Castex, le terrien qui perd les ''territoires".

La crise sanitaire liée à la pandémie de Covid-19, démarrée au printemps 2020, a accéléré les changements déjà en cours dans le monde du travail en France et a déclenché une remise en question radicale des espaces et des modes de travail. Deux grandes transformations se distinguent. Premièrement, le lieu de travail n’est plus tant un lieu physique qu’un espace virtuel. Deuxièmement, la pandémie a fait apprécier aux dirigeants non seulement les compétences cachées des collaborateurs, mais aussi leur environnement personnel. Décryptage. Pas de chiffres.

Le Covid a-t-il rouvert la « guerre des générations » ? La question a déjà des airs de vieille rengaine dans le débat autour de la pandémie. Pour certains, les mesures sanitaires généralisées attestent que la société est prête à sacrifier le présent et l’avenir des jeunes, parfois déjà précaires, pour préserver l’existence déclinante des anciens ; pour d’autres, au contraire, on culpabilise les aînés, improductifs, alors que leur comportement serait bien plus exemplaire que celui des nouvelles générations, dont on a rapporté les négligences.

L'infectiologue, qui publie "Urgence sanitaire", n'épargne personne. Ni le gouvernement, ni ceux qui affirment que la crise est finie. Entretien exclusif. Sommaire. "Nous courons après l'épidémie au lieu d'être dans l'anticipation". Qui sont les "rassuristes" ? Roger-Pol Droit : le Covid-19 nous empêche-t-il vraiment de vivre ? La deuxième vague.