Pour entraîner les I.A. qui génèrent des images , leurs créateurs les "nourrissent" d'oeuvres d'artistes bien réels. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que ça leur plaît moyennement...

Les éditeurs prennent cette fois les devants sur l’usage de leurs contenus par les services d’IA. Article extrait de "The Financial Times". Pas de chiffres.

Philippe Masseron du gf2i (Groupement français de l'industrie de l'information) nous éclaire sur les enjeux cruciaux du droit d'auteur à l'ère de l'IA générative. Entre risques de prédation massive des contenus et opportunités d'accès et d'innovation portées par l'IA, les acteurs de la création et de l'information doivent se mobiliser pour défendre leurs intérêts et repenser leurs modèles de valorisation. Le rôle d'instances comme le gf2i sera clé pour peser dans les débats législatifs en cours et créer les nouveaux équilibres dans l'économie de la donnée. Pas de chiffres.

Elles s'appellent ChatGPT, Midjourney ou AIVA. Depuis quelques mois, ces IA génératrices de textes, images ou musiques sèment la panique car, pour accomplir leur tâche, elles pillent le travail des artistes, écrivains... ou journalistes.