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Dupieux, Quentin (1974-....)

Article

Auteurs
Date parution pério
2018-06-28
A l'écran, il joue un flic borné. A la ville, le cinéma ne l'intéresse pas et la promo l'ennuie. Il préfère s'occuper de son festival littéraire.
Numéros de page :
pp.80-82

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Date parution pério
2024-02-03
Il s'est installé aux États-Unis sans parler anglais, s'est lancé dans l'électro armé d'une peluche, a magnifié les aventures d'un pneu. Cinéaste inclassable, il sort un "Daaaaaali!" complètement fou, incarné par six acteurs.
Numéros de page :
pp.4-6, 8

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Bulletin : Première 535
Date parution pério
2022-12-01
À peine sorti du très intense "Novembre", le producteur Hugo Sélignac fait le grand écart avec la comédie frappadingue "Fumer fait tousser". Quentin Dupieux, "mouillage de chemise" et films de stoner : rencontre avec le golden boy du cinéma français.
Numéros de page :
pp.44-47

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Date parution pério
2019-05-16
Huit ans après avoir triomphé à Cannes, le héros de "The Artist" est de retour sur la croisette, avec une comédie loufoque de Quentin Dupieux. Entretien.
Numéros de page :
pp.80-81

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Date parution pério
2020-11-01
"Mandibules" confirme la place très singulière qu'occupe Quentin Dupieux dans le cinéma français singulière au point de diviser encore beaucoup. Les "Cahiers" l'ont toujours soutenu, comme ils détendirent autrefois, toutes (dis)proportions gardées, Jerry Lewis, contre ceux qui ne voient que potacherie là où se manifeste un sens très original de la comédie, ou qui considèrent comme simplement désinvolte une économie tonnelle et un art du récit beaucoup plus précis qu'on pourrait le croire au premier abord.
Numéros de page :
pp.6-16, 18

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Date parution pério
2020-11-12
Le réalisateur de "Rubber" et de "Au Poste" met en scène deux parfaits cons aux prises avec une mouche géante. Rencontre avec un merveilleux fêlé, qui se réclame de Bunuel et de Blier.
Numéros de page :
pp.98-100

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Date parution pério
2022-06-01
Solitaires, obsessionnels, enfermés en eux-mêmes, jusqu'à la folie, l'abrutissement ou le crétinisme : si l'on fait exception du couple formé par Alain Chabat et Elodie Bouchez dans "Reality", le célibat a jusqu'ici été la condition quasi métaphysique des personnages de Quentin Dupieux. C'est aussi celle des films eux-mêmes, qui apparaissent comme des ''machines célibataires", selon l'expression forgée par le surréaliste Michel Carrouges : à la fois rigoureuses et absurdes, maniéristes et autarciques.
Numéros de page :
pp.30-31