L'écrivain reprend ses fondamentaux et une grande forme : récit d'aventure, roman d'amour, soap opéra, cinéma d'espionnage, de la diagonale du vide français(e) à la Corée du Nord ; tout cela, entre autres, est miniaturisé dans "Envoyée spéciale".

Jean Echenoz renoue avec le roman d'aventure décalé. Entre "OSS 117" et Pierre Dac, son "Envoyée spéciale" est un sommet de délire comique.

Après avoir visité quelques personnages du passé, le lauréat du prix Goncourt 1999 est de retour dans notre époque avec "Envoyée spéciale" - une parodie de roman d'espionnage, mêlant nostalgie et loufoquerie, dans laquelle tout est permis à commencer par le plaisir de jouer avec la langue et ses mots.

Dans Ici ou ailleurs, l'auteur québecois de bande dessinée Guy Delisle illustre les "lieux", majoritairement parisiens, tirés de l'oeuvre de l'écrivain français Jean Echenoz. Entretien croisé.

Inspiré de la vie de Nikola Tesla, un ingénieur spécialisé dans l'électricité, Jean Echenoz clôt sa trilogie sur des personnalités hors du commun. Un superbe portrait d'un inventeur que la postérité n'a pas reconnu.

Dans son nouveau roman, l'écrivain rejoue avec les codes du récit de genre - ici celui d'espionnage, puisque l'on suit une jeune femme en mission en Corée du Nord. Avec en prime beaucoup de bagnoles.

En retraçant le destin d'Emile Zatopek, vainqueur du 10 000 mètres en 1948, Jean Echenoz réussit le formidable récit d'une machine à courir. Portrait d'un écrivain en haut du podium.

"Envoyée spéciale", ou la joie de lire Jean Echenoz, plus drôle que jamais !

Il faut lire "Je m'en vais", pour son style lunatique et pour sa musique secrète.

Jean Echenoz s'amuse dans une rocambolesque opération de contre-espionnage.

Méfiez-vous des étiquettes littéraires ! Le sixième roman de Jean Echenoz, "Les Grandes blondes", est drôle comme une course-poursuite de cinéma loufoque. Quand le nouveau Nouveau Roman s'amuse...