La radicalisation de la politique migratoire américaine s'est traduite par l'arrivée d'un contingent de sénégalais à Dakar. Dans un climat de honte et de colère, un journaliste raconte ces rêves brisés.

A la fois pays de départ, de transit et depuis plus récemment d'arrivée, le Mexique est un pays emblématique des enjeux et impasses des politiques migratoires. Ses lois en font l'un des Etats les plus protecteurs pour les personnes migrantes, originaires d'Amérique centrale. Mais, sur le terrain, la réalité est tout autre.

Des milliers de personnes défient le froid depuis janvier 2017 pour fuir l'Amérique de Donald Trump et trouver refuge au pays de Justin Trudeau. Un afflux accueilli diversement côté canadien.

La question migratoire, symbolisée par l'histoire du campement de Calais, reste très sensible. Comment accueillir les réfugiés de manière humaine ? Comment tenir l'équilibre entre hospitalité et fermeté ? Cela ne peut se faire qu'au niveau d'une coopération européenne et en impliquant davantage l'opinion publique.

Un temps dépassée par la crise des réfugiés en 2015, la chancelière allemande reprend la main avant les législatives de septembre 2017. Le défi de l'intégration reste immense.

Promesse centrale faite à son électorat, le mur sur la frontière mexicaine se heurte à de nombreuses contraintes. Le président américain jure qu'il verra le jour...

En campagne, Mark Zuckerberg ? Le fondateur de Facebook parcourt les Etats-Unis et recrute d'anciens conseillers proches de la Maison-Blanche. D'autres patrons du high-tech pourraient suivre son exemple.

En décidant d’abroger le décret protégeant les "Dreamers", ces immigrés arrivés illégalement alors qu’ils étaient mineurs, Trump s’est livré à "un acte de pure cruauté", dénonce le Los Angeles Times

"Le gouvernement australien a décidé que vous n'avez plus droit à ses aides sociales", indique le document donné par le département de l'immigration. Le 28 août 2017, 63 demandeurs d'asile, placés sous le régime d'un nouveau visa, intitulé "final departure Bridging E Visa", ont été privés, sans préavis, de tout soutien financier et se sont vu donner jusqu'au 18 septembre pour se trouver un toit dans l'attente d'une éventuelle expulsion.