Personnage central de l'administration américaine, le nouveau ministre des Affaires étrangères a grandi à Paris. Son séjour en France a déterminé sa vie. Et sa vision du monde.

La grève, qui concerne l’ensemble du système de l’Université de Californie, a commencé le 14 novembre et a impliqué environ 48 000 personnes. C’est la plus grande action syndicale qui ait eu lieu en Amérique depuis des années. Le regain de syndicalisation parmi les professions diplômées et intellectuelles suffira-t-il à inverser le déclin ?

S’il est un domaine dans lequel l’arrivée de la gauche au pouvoir change la donne en Amérique latine, c’est celui de la politique étrangère. Alors que plusieurs dirigeants appellent à une relance des processus d’intégration régionale, les capitales passées à gauche n’hésitent pas à afficher leurs désaccords avec Washington. Notamment sur le « dossier Assange ».

Pendant que l’Amérique y agite le drapeau rouge du piège de la dette, la Chine continue sa longue marche sur le continent africain. À ce stade, il semble impossible que l’Amérique rattrape la Chine dans sa course au potentiel économique africain. Mais rien n’est joué, car on sait que la Chine sera démographiquement dépassée par l’Inde dès le mois d’avril prochain. Fait partie d'une série intitulée "Quand la Chine s'est éveillée".

En subventionnant son économie et en contrôlant ses exportations, l’Amérique entraîne le monde dans une dangereuse dérive. Personne n’attend de l’Amérique qu’elle revienne aux années 1990. Elle a raison de chercher à préserver sa prééminence militaire et d’éviter une dangereuse dépendance à l’égard de la Chine. Mais cela rend d’autant plus essentielles d’autres formes d’intégration mondiale.

En quelques heures, « Sleepy Joe » (Joe l’endormi) – le surnom donné au président américain par ses adversaires – s’est transformé en Terminator. Il a mobilisé l’avion furtif F-22 et ses missiles dernier cri pour abattre le 4 février dernier un ballon chinois, « grand comme trois autobus », voguant à une vingtaine de kilomètres d’altitude.

La faillite de l’établissement californien Silicon Valley Bank (SVB), le 10 mars dernier, s’accompagne d’une impression de déjà-vu : Bourses qui dévissent, appels au calme, sauvetage d’investisseurs aventureux, promesses d’enquêtes approfondies… La chute de SVB n’entraînera peut-être pas le reste de l’économie, mais une chose est sûre : quinze ans après la faillite de Lehman Brothers, tout pourrait recommencer. Détails. Pas de chiffres.

Étant donné que Taïwan ne pourrait résister à une attaque par ses propres moyens que pendant quelques jours ou quelques semaines, tout confl it pourrait rapidement dégénérer en une confrontation entre superpuissances. Au centre, la présidente taïwanaise Tsai Ing-wen.

Lundi, les clients de la Silicon Valley Bank ont fait la queue dans le calme pour récupérer leurs dépôts. L’hémorragie s’est déroulée silencieusement par le biais des ordinateurs ou des téléphones portables.

Les grands studios comptent sur un retour en force de la diffusion en salle, mais l’inquiétude demeure pour les films à petit budget. Article extrait de "The Financial Times". Quelques données chiffrées.

Après trois décennies de développement spectaculaire d’Internet, l’utopie libertaire de la Toile est désormais revendiquée par l’extrême droite américaine. Au détriment d’une gauche légitimement soucieuse de protéger les plus vulnérables contre les discours outranciers, mais qui abandonne aux entreprises capitalistes le soin de réguler les réseaux.

Qui remportera la bataille mondiale des algorithmes et des machines « apprenantes » ? Les États-Unis ou la Chine? Derrière ces questions se cache une réalité plus prosaïque. Pour nombre d’entreprises de la Silicon Valley, c’est l’occasion de faire main basse sur des dizaines de milliards de dollars de subventions publiques, quitte à dramatiser le bras de fer avec Pékin. Lobbying intensif et réminiscences des affrontements d’antan entre blocs : la géopolitique de l’intelligence artificielle est aussi une affaire de gros sous. Détails. Pas de chiffres.