Plus de deux cents âmes en tourment animent « La Porte de l'Enfer » comme un organisme vivant. La pièce maîtresse de l'oeuvre de Rodin fait à elle seule l'objet d'une exposition.

Des crucifix aux colliers de croix, la rencontre des peuples Kongo avec la religion chrétienne à partir du XVe siècle a donné lieu à une production inédite d'objets sacrés.

Exposition d'Elisabeth Louise Vigée Le Brun, au Grand Palais, à Paris.

Le Louvre Lens fait découvrir des chefs d' oeuvre d'une période restée longtemps méconnue dans l'histoire de l'Iran : celle des Qajars, qui régnèrent sur le pays au XIXe siècle. A travers elle se dessine le visage d'un Iran moderne, qui s'inscrit dans la politique d'ouverture du pays, et à laquelle participent les artistes contemporains.

Lorsque ce jeune homme diplômé des Beaux-Arts de Tokyo débarque à Paris en 1913, la France ne connaît du Japon que les laques et les estampes qui ont inspiré Monet et Van Gogh. Sa personnalité attachante, son allure anticonformiste plaisent d'emblée. Installé à Montparnasse, il se fait rapidement le complice de nombreux artistes parmi lesquels Modigliani, Soutine et Picasso.

La galerie Perrotin (Paris) présente jusqu'au 26 mai 2018 la première exposition personnelle en France de l'artiste américain Matthew Ronay. Intitulée Ramus, elle est l'occasion de découvrir ses étranges et singulières sculptures.

L'artiste qui a fait des ustensiles de cuisine et du quotidien de l'Inde la matière première de son oeuvre inaugure sa première grande rétrospective à Paris.

Maria Martins et Marcel Duchamp, Sophie Taeuber et Jean Arp, Max Ernst et Dorothea Tanning ... Les couples d'artistes ont marqué l'histoire, comme le montre une exposition au Centre Pompidou-Metz. Un travail en tandem que reprennent à leur compte les plasticiens contemporains.

A la veille de l'ouverture de la grande exposition Miro au Grand Palais, "L'OEil" est allé découvrir les premiers paysages qui ont marqué le peintre et sa peinture.

L'exposition de tous les superlatifs a ouvert ses portes au grand public ce 24 octobre, pour quatre mois. Particulièrement complexe, elle promet une affluence record : pas moins de 220.000 billets avaient été vendus dès avant l'ouverture.

Pablo Picasso (1881-1973) n'a connu ni éclipse de son vivant, ni purgatoire après sa mort. Ses oeuvres ont occupé et occupent le sommet au bilan annuel des ventes. L'exposition "Picasso.mania" au Grand Palais s'inscrit dans cette continuité et plus précisément dans celle de son exposition précédente au même endroit en 2009, "Picasso et les maîtres". A une importante différence près. Picasso et les maîtres s'intéressait aux relations du "plus grand génie du XXe siècle" avec les artistes du passé.

Sommaire. Le Centre Pompidou prend René Magritte au sérieux. Rembrandt peint l'invisible sans emphase.