Mal compris par ses compatriotes, le grand peintre américain Cy Twombly (1928-2011) a longtemps vécu en Europe, où il a connu le succès. Le Centre Pompidou, à Paris, offre une vision originale et complète de cet artiste à la stature si singulière.

Pour la première fois, la femme d'affaires madrilène Alicia Koplowitz dévoile sa collection privée d'art ancien, moderne et contemporain. Un florilège d'oeuvres de Goya, Tiepolo, Modigliani, Picasso, Rothko ou Barcelô, à découvrir à Paris, au musée Jacquemart-André.

"Les Vermeer sont les plus beaux tableaux du monde !", s'était écriée la romancière et historienne de l'art Anna Banti, lors d'un voyage en Hollande, dans les années 1950. Ces merveilles sont aujourd'hui visibles au musée du Louvre, le temps d'une exposition.

Déjà montrée cet hiver à Liège, une remarquable exposition retrace au musée Maillol, à Paris, le parcours de Paul Rosenberg, esthète éclairé, marchand visionnaire et infatigable promoteur de la modernité au coeur d'une époque clef pour l'histoire des arts.

Quoi !? "Cosinus" visitant une expo littéraire ? Des livres de maths au milieu des poèmes ? Ah, quel bonheur de se rebeller contre cette barrière factice entre sciences et littérature, grâce aux facéties de l'Oulipo. Accompagnant Virgule dans sa visite de l'exposition Oulipo, la littérature en jeu(x), visible actuellement à la bibliothèque de l'Arsenal, "Cosinus" vous explique en détail comment les Oulipiens utilisent leurs outils mathématiques : graphes, carrés latins, combinaisons, et même un ruban de Moebius pour raconter une histoire à l'infini...

Une exposition se propose de rendre perceptibles les mathématiques et l'esprit de ceux qui les font : pour cela, mathématiciens et artistes se sont associés pour transformer des idées abstraites en oeuvres d'art.

La présente exposition, "Visages de l'effroi", vise expressément « à démontrer la richesse de la production française, demeurée en grande partie inédite et souvent déconsidérée par rapport aux oeuvres clés, emblématiques de l'art romantique anglais et allemand », ainsi que l'écrivent Jérôme Farigoule et Hélène Jagot, commissaires généraux de la manifestation, au seuil du très riche catalogue.

L'embarras que provoque le mot "prostitution" demeure vivace aujourd'hui, puisque l'exposition au musée d'Orsay, au lieu d'afficher sous le titre "Images de la prostitution" le sous-titre "Splendeurs et misères", a préféré opter pour une inversion qui édulcore une réalité anxiogène, en se référant implicitement aux "courtisanes" de grand standing : "Splendeurs et misères. Images de la prostitution". La prostitution ne cesse de provoquer la gêne. Elle fascine, mais en même temps elle perturbe, parce qu'elle pose à portée de main l'objet d'un désir interdit.

Après avoir battu des records d'affluence au Musée d'Israël, une exposition présentant une cinquantaine de chefs-d'oeuvre usurpés pendant l'Occupation arrive à Paris.

Toute sa vie, le grand peintre anglais a regardé les oeuvres de ses prédécesseurs. Au Grand-Palais, une exposition confronte ses tableaux et ceux qui l'ont inspiré, Le Lorrain, Poussin, Rembrandt...

A la Cité de la Musique, la grande exposition ″Lénine, Staline et la musique″ s'inscrit dans le cadre d'une série d'événements sur l'URSS et sur la mise au pas des musiciens, de 1917 à 1953.

Le Musée d'Art moderne de la Ville de Paris présente une grande rétrospective de l'oeuvre jubilatoire du peintre américain mort en 1988, à 27 ans.