La nouvelle édition du Printemps de Septembre fait mouche en donnant amplement la parole à la jeune création française.

Avec des accrochages rigoureux et une belle cohérence d'ensemble, 2008 est pour le Printemps de Septembre un excellent millésime

A Toulouse, le Marathon des mots, auquel ″Le Point″ s'associe, met l'Italie à l'honneur.

Toulouse retrouve son Printemps de Septembre. Intitulé « Dans la pluralité des mondes », il se déploie dans toute la ville du 23 septembre au 23 octobre 2016 et s'ouvre à de multiples champs d'expression : art, musique, danse, performance, cinéma, lectures, projections nocturnes... Et même, pour finir, un bal dada ! L'occasion de revenir sur le parcours de l'ex-directeur du Mamco, Christian Bernard, auquel la refondation du festival a été confiée.

Après trois années de programmation, Jean-Marc Bustamante remet les clés du festival toulousain et signe avec "Lignes brisées" une ultime direction artistique placée sous le signe du paradoxal.

A Toulouse, le Printemps de septembre 2007 joue deux partitions de choix : "Hamsterwheel" et "Wheeeeel", deux expositions dont la première a eu pour répétition générale la... Biennale de Venise.

Nommé directeur du Printemps de septembre, Christian Bernard, ancien directeur du Mamco (Musée d'art moderne et contemporain) de Genève, a conçu la prochaine édition de ce festival devenu biennal depuis 2014. "Dans la Pluralité des Mondes" réunira du 23 septembre au 23 octobre 2016 plus de cinquante artistes et une douzaine de commissaires associés.

Boosté par l'artiste Jean-Marc Bustamante et son commissaire, Pascal Pique, le Printemps de septembre retrouve les couleurs qu'il avait perdues. "In Extremis", c'est son titre, émancipe l'image qui devient monumentale, exubérante, excessive.

Printemps arabe et beat generation : tels sont les deux axes de la 7e édition du festival toulousain.

Malgré la qualité de ses propositions, le nouveau "Festival international d'art de Toulouse" manque de liant et d'une idée forte pour bâtir son identité.