Aller au contenu principal

Festivals de musique -- Autriche

Article

Auteurs
Bulletin : Diapason 715
Dans la ville de Mozart, cet été 2022, "La Flute enchantée" virait au tragique. Davantage que par une "Aida" inaboutie, les festivaliers se sont laissé griser par une "Katia Kabonova" de Janacek à couper le souffle, et un "Triptyque" de Puccini relu à la lumière de "La Divine comédie".
Numéros de page :
pp.52-54

Article

Auteurs
Depuis la fin de la première guerre mondiale, la ville natale de Mozart offre chaque année un sublime écrin à l'une des plus prestigieuses manifestations européennes de musique et de théatre, où se pressent artistes et mélomanes. Retour sur son histoire, entre enchantements et désenchantements.
Numéros de page :
pp.58-64, 66, 68-69

Article

Auteurs
Markus Hinterhiuser, le nouveau directeur artistique du festival, propose une édition 2017 dédiée au répertoire lyrique du XXe siècle.
Numéros de page :
pp.70, 71

Article

Auteurs
A la veille de son centenaire, le festival créé par Reinhardt et Hofmannsthal est plus que jamais en ébullition. Récit détaillé.
Numéros de page :
pp.30-31

Article

Auteurs
C'est au coeur de la ville aux cent églises que l'enfant béni des dieux vit le jour et commença à composer. La cité autrichienne accueille également chaque été, depuis cent ans, le plus éminent festival d'opéra et de musique classique du monde. Nous vous invitons à marcher dans les pas d'Amadeus et à vous arrêter sur les lieux emblématiques de la prestigieuse manifestation pour parcourir cette grande scène à ciel ouvert.
Numéros de page :
pp.16-24

Article

Résumé de l'action. En 1920, cinq artistes inaugurent un festival dans la ville de Mozart. Petits moyens, grandes ambitions. Un siècle plus tard, spectacles par dizaines, milliers d'artistes et de spectateurs accourus du monde entier, ou comment un village est devenu notre capitale : Musikburg.
Numéros de page :
pp.26-37

Article

Auteurs
Date parution pério
2023-10-01
Deux chefs français triomphaient cet été 2023 dans la ville de Mozart, où la rare "Passion grecque" de Martinu créait davantage l'événement que des mises en scène distillant un fâcheux parfum de déjà-vu.
Numéros de page :
pp.51, 53-55