C'est pour Michel Bouquet qu'Anne Fonatine, la réalisatrice de "Nettoyage à sec", a écrit "Cher papa", [devenu "Comment j'ai tué mon père" lors de sa sortie en salle] dont le tournage a eu lieu cet été.

Pour son nouveau film, Anne Fontaine s'est inspirée du journal tenu en 1945 par une Française, médecin de la Croix-Rouge, qui a accouché, à Gdansk, des religieuses violées par des soldats nazis, puis par des Russes.

Dans le film d'Anne Fontaine, le comédien fait des étincelles face à Isabelle Huppert, qu'il admire autant qu'il ne supporte pas de se voir à l'écran. Interview.

Dans ″Perfect Mothers″, elle joue une quadragénaire qui entretient une liaison avec le fils de sa meilleure amie - laquelle lui rend la pareille.

Grand avocat parisien dans la Fille de Monaco, d'Anne Fontaine, il garde un souvenir amusé de ses débuts, mais ne tourne plus qu'un film par an pour préserver son énergie à la scène, qui le comble.

Un film qui a remporté le Prix du Meilleur scénario à Venise et qui n'a pas fini de faire parler de lui. Le portrait d'un couple séduit "ensemble" par un jeune homme et en proie aux vertiges de l'amour et du désir...

Dans "Nathalie" d'Anne Fontaine, elle joue une call-girl que Fanny Ardant paye pour séduire Depardieu. Sensuelle et troublante, Emmanuelle Béart trouve ici l'un de ses rôles les plus forts et les plus complexes. Le point avec elle sur sa démarche.

Père et fils dans "Comment j'ai tué mon père" d'Anne Fontaine, Bouquet et Berling se sont retrouvés pour nous, évoquant leur rencontre sur ce film et échangeant des idées sur leur métier.

Le cinéma français va rendre hommage par deux fois, en 2009, à l'une des illustres figures de la haute couture : Coco Chanel. La guerre des Coco aura-t-elle lieu ? Présentation comparative des deux projets.

Dans ″Perfect Mothers″, elle incarne une quadragénaire qui tombe amoureuse du fils de sa meilleure amie. Un des rôles les plus singuliers et sensibles d'une carrière, de ″Mulholland Drive″ à ″The Impossible″, dont elle nous livre les clés de ses choix.

Il parle beaucoup et s'en amuse. Digresse et retombe parfois sur ses pieds. Mais pas toujours. Quand Fabrice Luchini donne une interview il y a toujours une place pour la surprise et les sourires. Il ne ménage d'ailleurs pas ses efforts et répond à tout avec le même entrain. a prend du temps mais on n'est pas pressé. Tout y passe : Éric Rohmer, la télé, ses yeux ahuris, Alain Resnais, le théâtre, l'ego ... Et "Gemma Bovery", d'Anne Fontaine, dernier film en date, dans lequel il joue un bobo parisien reconverti en boulanger normand. a lui va bien.

Formidable boulanger érudit dans "Gemma Bovery", l'acteur demeure ce bateleur hors pair capable de parler avec la même verve de cinéma, de littérature et de politique. Une façon prévisible chez lui de rester... imprévisible.