"la Marseillaise" de Serge gaisnbourg, facilement identifiable à son "Aux armes et caetera" et à son rythme reggae, est devenue un classique.

Ils se sont rencontrés en 1968, et tout de suite le couple Gainsbourg-Birkin a été le symbole d'une époque. Amour et provoc, érotisme et pub, luxe et misérabilisme, poésie, impudeur, vérité, mensonge...

Fou de reggae, Bruno Blum a entièrement remixé, dans le plus pur style jamaïquain, "Aux armes et caetera" et "Mauvaises Nouvelles des étoiles".

C'était en 1975. Gainsbourg décidait de se lancer dans le cinéma. Avec "Je t'aime, moi non plus". Un film étrange, beau, personnel, qui deviendra vite culte.

Jeune homme, il rêvait de devenir peintre ou écrivain. Tout sauf chanteur. Et c'est ainsi qu'il est devenu aujourd'hui l'auteur et interprète français le plus admiré dans le monde.

La chanteuse réinterprète l'auteur d'"Amours des feintes" avec un orchestre symphonique. Elle évoque ici ses souvenirs et exprime son inquiétude devant la montée du Front national.

Au moment où une exposition commémore les quatre-vingt ans de sa naissance, le plus moderne des chanteurs français est devenu une référence obligatoire. Fort bien, mais qui parle encore de sa musique ?

Le 2 mars 1991, Serge Gainsbourg tirait sa révérence. Le coffret de son oeuvre complète existait déjà, Gainsbarre l'appelait ″sa pierre tombale″. Vingt ans plus tard, Universal annonce donc une revisite des 17 CD de l'oeuvre gainsbourgeoise. Chaque disque sera éventuellement accompagné d'un ou plusieurs inédits. A notre demande, Bertand Burgalat a écouté ces nouveaux titres inconnus qui lui ont inspiré ce texte.

Elle a été bien plus que la compagne de Gainsbourg : sa muse, son autre moi, sa part de lumière. Qui mieux qu'elle pourrait dire l'insaisissable vérité du dandy aux mille masques - et de leur couple devenu mythe ?

Déjà sous Gainsbourg perçait Gainsbarre, poinçonneur de lolitas en socquettes blanches sous le soleil exactement de 1978.