Inspirés par le lyrisme violent et morbide de la drill américaine et britannique, de jeunes Ghanéens ont inventé l'asakaa, un sous-genre du hip-hop, pour contrer leur quotidien désenchanté. Leur succès est fulgurant.

Sous couvert de promotion des "valeurs familiales", un projet de loi propose de criminaliser les lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres et queers du pays. Il est porté et promu par une organisation ultraconservatrice américaine.

Nouvelle star de l'art contemporain, le Ghanéen Amoako Boafo voit ses toiles s'arracher à coups de millions de dollars. Une course spéculative qui confirme la mode de la peinture figurative, mais qui tend à éclipser la singularité de ses portraits.

Loyal en amitié, le Ghanéen a récompensé ses proches en les nommant à des postes clés au sein de son ministère. Cet homme très pieux, que d'aucuns considèrent comme le "meilleur ministre africain des Finances", est pressenti pour être le candidat du Nouveau Parti patriotique à l'élection présidentielle de 2024.

Reconnu à l'international, le plasticien ghanéen présente sa première exposition monographique en France. Mais c'est surtout dans son centre d'art, situé à Tamale, sa ville natale, qu'il entend s'investir.

En trois ans, il est devenu une terre d’accueil du surf et du skate pour toutes et tous, et pas seulement pour les Blancs privilégiés.

Une statue du héros indien a été retirée d’une université ghanéenne. En Afrique, Gandhi est remis en cause pour son opinion très négative des Noirs.

La capitale du Ghana est connue pour être la ville qui ne dort jamais. Il y règne une atmosphère électrique dans laquelle bruits et mélodies se confondent. La musique et la ville ont connu les mêmes chamboulements depuis les années 1960.