Et si c'était le véritable homme malade de l'Europe ? Finances publiques, secteur bancaire, industrie, monnaie en berne... La campagne pour les élections législatives jette une lumière crue sur un système au bout du rouleau.

Le Premier ministre David Cameron passe son temps à casser du sucre sur le dos de ses voisins. Dette, croissance, inégalités : le modèle libéral britannique a pourtant du plomb dans l'aile. Démonstration.

L'hyperlibéral David Cameron est-il l'unique successeur de Margaret Thatcher ? Pas sûr. Tout en s'en défendant, les travaillistes sont eux aussi les enfants de la révolution conservatrice...

Un peu moins de 5% de chômeurs, un job crée toutes les trois minutes, un pouvoir d'achat qui ne cesse d'augmenter. On peut critiquer le système britannique. Il n'empêche. De l'autre côté de la Manche, on s'enrichit. Et face aux pays de l'Euroland, la France comprise, l'Angleterre a gagné la bataille de l'emploi.

Depuis l'élection de Tony Blair, qui remet son mandat en jeu le 5 mai, l'Angleterre vit une cure de jouvence.

Au Royaume-Uni, le vainqueur des élections du 6 mai sera confronté à une situation économique très dégradée. Mais ni les travaillistes ni les conservateurs ne proposent un nouveau modèle à la hauteur des enjeux.

L'Institut de l'entreprise a évalué l'impact des mesures prises par quatre de nos voisins pour sortir l'Etat de ses rigidités. Une série d'idées parfois difficiles à appliquer, mais qui pourraient faire bouger notre pays.

Compilation d'articles parus dans le quotidien français ″Le Monde″ entre 1952 et 2011, sur les traditions, la culture, le système monarchique et la situation économique du Royaume-Uni. Parmi les points abordés : les moments phares de l'année 2012 ; l'accès au pouvoir de la reine Elizabeth II ; la monarchie contrainte d'évoluer avec son temps ; le Royaume-Uni en dehors de l'Union européenne ; les indicateurs économiques clés du pays ; les tensions diplomatiques Paris-Londres ; la chute du secteur immobilier ; les émeutes d'août 2011 ; etc.

Le 23 juin 2016, les Britanniques ont voté à 51,9% des voix en faveur du Brexit, c'est-à-dire la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne. Suite à ce vote, le Premier ministre David Cameron a cédé son poste à Theresa May, qui aura donc la charge de négocier les conditions de cette sortie avec ses futurs ex-partenaires européens.

Electrochoc. Après un rude plan d'austérité, l'économie britannique repart. Quelle est la recette ?