Une histoire générale de cette mosaïque d'événements que fut la chouannerie dans un récit à la fois tragique, romanesque et cocasse qui ressuscite le combat religieux et politique d'un peuple de paysans, de faux-saulniers, de marins-pêcheurs, d'artisans et de nobles, de 1792 à 1804. ©Electre 2016

Du soulèvement de 1793 à la tentative désespérée de la duchesse de Berry en 1832, Emile Gabory raconte les grandes heures des guerres de Vendée sans oublier de peindre les chefs qui les ont incarnées - La Rochejaquelein, Charette, Bonchamps, Cathelineau, Stofflet...- et leurs antagonistes républicains, comme le redoutable Turreau et ses colonnes infernales, Hoche, Kléber ou encore le général Lamarque. Ecrit d'une plume alerte, ce grand récit, introuvable depuis longtemps, reste considéré comme une référence incontournable.

Présentation des guerres de Vendée, qui se sont déroulées principalement entre 1793 et 1796, avec d'ultimes affrontements jusqu'en 1832. Les auteurs évoquent les grandes périodes de ces conflits ainsi que les personnages marquants y ayant participé, royalistes et républicains. ©Electre 2017

Une histoire de la guerre emblématique de la Contre-Révolution, abondamment illustrée par des tableaux, des gravures, ainsi que par divers documents d'archives et objets. ©Electre 2017

Présentation des combats qui ont secoué la Vendée durant la Révolution française. L'auteur décrit comment la politique anticatholique du pouvoir révolutionnaire a conduit au soulèvement de 600 paroisses qui ont ainsi formé la Vendée militaire. Il évoque notamment les causes de cet engagement populaire, les grands acteurs vendéens et républicains et relate les événements de ce conflit. ©Electre 2017

Le père d'Élisabeth de Fontenay a été une figure majeure de la Résistance française. Élisabeth de Fontenay a fait sien l'attachement de son père à la République française et à la démocratie au risque de sa vie, et elle n'a cessé depuis, dans son œuvre de philosophe, de défendre ces convictions de gauche.Or un livre n'a jamais quitté son père, il s'agit du roman de Victor Hugo, Quatrevingt-treize. Pourquoi ? Parce que dans cet ouvrage mieux que partout ailleurs est évoquée la tragédie qui a marqué dans le sang la naissance de la Première République française. La Révolution a tué presque deux cent mille Vendéens, au nom du principe d'universalité. Aujourd'hui la mémoire de cet événement est soit éteinte, soit récupérée et caricaturée, comme au Puy du Fou. Il y a donc nécessité non seulement à ne pas oublier cette violence qui a marqué cette République dont nous sommes les héritiers, mais à méditer sur cette ambivalence terrible qui peut transformer la cause du progrès en terreur. Cet épisode historique est un enseignement important pour nous aujourd'hui, il y va de notre liberté et de l'égalité entre hommes et femmes.Cette méditation tourmentée autant que nuancée, qui convoque romanciers, historiens et philosophes, frappe par sa force intellectuelle.  « Quel sens peut désormais prendre le souci de la nation, de la langue et de la littérature françaises si le pays où nous demeurons, que nous soyons nés sur son territoire ou que, par naturalisation, nous en ayons été faits citoyens, ce pays est devenu un archipel, en dépit de la préoccupation, sans cesse affichée par les autorités politiques, de l'unité nationale, de l'intégrité du territoire et de l'indivisibilité de la République ? Ce livre tente précisément d'interroger une histoire dont je demande en même temps jusqu'à quel point elle peut encore être dite nôtre. Sur ce nous, je resterai incertaine, divisée, désolée par la modernité et son pouvoir de déliaison, mais aussi forte de l'espoir qu'elle peut encore...

A partir d'archives, de témoignages et d'écrits, l'auteur relate le soulèvement des paysans vendéens face à l'armée catholique et royale en 1793. ©Electre 2023