Ces dernières semaines, l'Inde fait face à une crise sanitaire sans précédent. Une accélération soudaine du nombre de cas de coronavirus a provoqué une saturation du système hospitalier, incapable de fournir de l'oxygène et des lits à tous les malades. Comment et pourquoi le pays a-t-il perdu le contrôle ? Bilan avec The economist.

En pleine révolte des cipayes, la rani de Jhansi devient le symbole de la résistance contre la domination britannique. En 1858, sa mort au combat va la hisser au rang d'héroïne nationale.

Pour ne pas froisser l’armée birmane, New Delhi se contente d’appeler à un "retour à la normale" chez son voisin. Au risque d’attiser la colère de la population des régions frontalières, qui soutient le mouvement de démocratisation birman, analyse cette journaliste indienne.

On l’ignore souvent mais, avant d’être un comptoir britannique, la ville indienne a été une colonie portugaise. De ce lointain héritage, il reste encore aujourd’hui de multiples traces : dans la langue, la gastronomie, l’architecture ou encore la végétation. Visite guidée.

Hôpitaux et morgues surchargés, pénuries de médicaments et d’équipements : la déferlante de contaminations qui touche le pays montre les failles du système de santé indien. Elle accentue aussi les inégalités profondes et les tensions religieuses. Une situation dans laquelle le Premier ministre indien, Narendra Modi, et son gouvernement risquent de laisser des plumes. Sommaire. Covid-19. "Modi a mis l’Inde à genoux". L’heure de vérité a sonné pour le régime.

Dans cet Etat dirigé par le moine hindou Adityanath, les mesures antimusulmanes se multiplient et la répression contre l’opposition s’accentue. Plus grave encore, cette gouvernance extrémiste fait des émules chez d’autres dirigeants indiens, souligne cet universitaire. Sommaire. L'Uttar Pradesh, une dystopie hindouiste. L'école vire au safran.

Dans le nord du pays, les courses de pigeons ont longtemps été condamnées par la société. Mais cette activité traditionnelle connaît un renouveau, notamment grâce aux réseaux sociaux. Et les paris sont très lucratifs.

Rétrécissement des surfaces disponibles, hausse du prix des droits de pâturage... Sous l’effet des politiques de reboisement, les bergers de l’ethnie des Bhotias, dans le nord de l’Inde, sont poussés à délaisser leur activité.

Dans la réserve de tigres de Nagarahole, tigres et léopards prospèrent, signe que les efforts de conservation de l'Inde commencent à porter leurs fruits.

Fleuve vénéré de l'Inde, le Gange est aussi une source majeure de pollution des océans. Une expédition de "National Geographic" a entrepris de documenter l'étendue de la pollution plastique dans le fleuve et ses origines terrestres.

L’avortement est autorisé en Inde, mais il est souvent pratiqué dans des conditions sanitaires peu sûres, voire mortelles. Le manque de médecins et les préjugés sont un frein à un accès libre et dans de bonnes conditions à l’IVG.

Depuis le début de la guerre en Ukraine, New Delhi n'a jamais explicitement condamné l'agression de Moscou. Une impartialité tenable ?