60% des Français de moins de 35 ans déclarent préférer l'inhumation à la crémation, d'après un sondage Ipsos. Un chiffre qui suscite l'étonnement chez les professionnels du secteur, et qui s'explique notamment par le besoin de retour au rituel de la part des trentenaires. Cela concerne notamment un temps d'hommage plus long et non pas un attrait traditionnaliste. Les experts estiment toutefois qu'à terme, les deux modes funéraires s'équilibreront. 57% des seniors plébiscitent pour leur part la crémation.

Moins polluante que l'inhumation ou la crémation, l'humusation n'a pas fini de faire parler d'elle. Prônée comme l'une des solutions au réchauffement climatique, cette méthode funéraire de "compostage humain" a été autorisée aux Etats-Unis en 2019, mais reste illégale en France et en Belgique

Jeunes ou vieux, bigots ou non, des milliers de Français ont fait le voyage, la semaine dernière, pour rendre hommage à Jean-Paul II.

Il paraît que c'est arrivé par le passé. Mais cette abomination est-elle encore possible de nos jours ? Il n'y a pas pire cauchemar que d'être enterré vivant !

L'expérience fait fureur à Séoul : payer pour vivre, pendant quelques heures, ses propres funérailles. Notre reporter a essayé. Et c'est un drôle de voyage.

Cinq siècles après la mort du navigateur, en mai 1506, on ignore toujours où repose sa dépouille.