L'ex-chef d'état-major de Tsahal et ancien Premier ministre israélien décrypte ce qui s'est réellement passé le 7 octobre 2023 et livre son analyse de l'avenir d'Israël et de Gaza après la guerre.

Un conseiller d'Obama, 40 psys, des caméras... Autour d'une ex-députée, les familles sont accueillies dans cet immeuble de Tel-Aviv.

Des centaines de milliers de Palestiniens et d'Israéliens partagent leur quotidien dans la ville sainte, sous une tension devenue extrême.

Après les massacres du 7 octobre, le Mossad et le Shin Bet ont reçu l'ordre d'éliminer un à un les responsables des attaques. Où qu'ils soient. Enquête sur les légendaires espions de l'Etat hébreu. Sommaire. Les services secrets israéliens dans la guerre. Netanyahou et les espions, les coulisses d'un divorce. Il était une fois... le Mossad. La mystérieuse unité 8200.

Principal médiateur dans le dossier des otages entre Israël et le Hamas, le Premier ministre du Qatar, le cheikh Mohammed ben Abdulrahman al-Thani, répond au "Point".

En assassinant, à Beyrouth, Saleh al-Arouri, vice-président du bureau politique du Hamas et cofondateur de sa branche armée, Jérusalem fait peser la menace d'une invasion du sud du Liban. Un risque pris au sérieux par plusieurs réservistes de Tsahal, qui ont confié à "Marianne" se préparer à une offensive de grande envergure.

Depuis l’attaque terroriste du Hamas, Israël livre une guerre aux Palestiniens qui se nourrit de décennies de propagande. Pendant que l’on massacre à Gaza, les colons et l’armée terrorisent la population de Cisjordanie. Dirigé de fait par les plus extrémistes des colons, le gouvernement, certes vivement contesté, est aujourd’hui emporté par une dérive fasciste. Sommaire. Les désastres d'une mémoire sélective. Barbarie ordinaire et impunité en Cisjordanie. Marius Schattner : « Il y a les germes d’une nouvelle donne politique en Israël ».

Alors que le conflit au Proche-Orient va bientôt entrer dans son sixième mois, le nom d'un homme revient sans cesse. Ce nom, c'est celui de Marwan Barghouti, figure de la résistance palestinienne pour les uns, terroriste condamné à vie pour les autres. Souvent présenté comme le "Mandela palestinien", considéré comme un début de solution par le Qatar, peut-il changer l'histoire ?

Cette fiction, qui raconte depuis 2015 les missions peu orthodoxes d’une unité de soldats infiltrés en Cisjordanie et à Gaza, a pris une dimension plus politique après l’attaque du 7 octobre. Plusieurs acteurs, réalisateurs et techniciens se sont engagés derrière l’armée, jusqu’à devenir des héros pour le pays. Un tournant que devrait suivre la cinquième saison à venir.

Depuis le 7 octobre, leur position au sein de la société israélienne parait inaudible. Pourtant, ils sont de plus en plus nombreux. Les refuseniks, comme on appelle ces Israéliens à peine majeurs qui préfèrent aller en prison plutôt que d'accepter de faire leur service militaire obligatoire, sont persuadés de représenter le seul avenir possible du pays. On est partis à leur rencontre.

En Palestine occupée, le mois saint de l’islam cristallise les tensions alors que les Palestiniens font face à de nombreuses restrictions de l’accès au mont du temple et à la mosquée Al-Aqsa. Elles illustrent le régime légal que des organisations de défense des droits humains qualifient d’apartheid.

"Le Déserteur" commence comme un film de guerre : dans un village arabe en ruine, des soldats de Tsahal interviennent contre un ennemi hors-champ (précisons que le film a été tourné avant les attentats du 7 octobre). Lorsque l'un de ces soldats, Shlomi (Ido Tako), 18 ans, fuit ce front où il combat, c'est comme s'il voulait s'extraire d'un récit et d'images dont il refuse d'être le protagoniste. Sommaire. L'Etat aux trousses. Courir et résister : entretien avec Dani Rosenberg.