Alors que le Premier ministre israélien, tout comme le président de l’Autorité palestinienne, cherche à survivre politiquement, les tensions communautaires sont devenues explosives dans la ville sainte.

Depuis 1948, l’Etat hébreu a reçu 146,2 milliards de dollars d’aide des Etats-Unis, dont une quarantaine de milliards pour la défense. Aujourd’hui, des voix s’élèvent au sein du Congrès américain pour réclamer un meilleur contrôle de cette subvention.

En avril 2021, avant que n’éclate un nouveau conflit entre le Hamas et Israël, "Ha’Aretz" s’était intéressé aux difficultés croissantes que les réalisateurs arabes israéliens rencontrent pour tourner. L’enquête du quotidien de Tel-Aviv illustre à sa façon les fossés qui se sont creusés entre les communautés.

La Liste arabe unie conduite par Mansour Abbas a accepté de faire partie du futur gouvernement israélien. Mais les promesses arrachées en échange ne sont pas à la hauteur des attentes des Arabes israéliens, estime "Ha’Aretz".

L’arrivée aux affaires d’un nouveau gouvernement israélien, supposé plus conciliant, avait suscité un mince espoir. Il a été vite douché par l’avènement du président iranien ultraconservateur, relate l’intellectuel libanais Hazem Saghieh dans le quotidien "Asharq Al-Awsat". Pour conclure l'analyse de l'intellectuel, "Courrier International" propose une revue de presse suite à l'arrivée au pouvoir d'Ebrahim Raïssi à la tête de l'Etat iranien intitulée "Les défis qui attendent le président iranien".

Deux photographes israéliens ont contourné les impératifs sécuritaires et exposent à Tel-Aviv des vues aériennes de leur pays. Un acte instructif, décrypte le quotidien de gauche Ha'Aretz.

L’accroissement de sa population, couplé à la hausse des températures qui affecte toute la région moyen-orientale, est un problème de taille pour l’Etat hébreu : il va devoir réorienter sa politique de développement des énergies renouvelables et d’urbanisation.

L’emploi du logiciel espion contre des Palestiniens démontre le sentiment d’invincibilité de l’Etat hébreu, commente cette chroniqueuse israélienne.

La guerre par procuration que se livrent les deux Etats au Moyen-Orient se déplace sur le terrain maghrébin, explique "Raseef22". Désirs expansionnistes et visées stratégiques prospèrent sur les rivalités locales.

Cette romancière israélienne livre l’histoire de sa mère, juive marocaine qui a émigré en Israël, où elle a épousé un Ashkénaze. Un récit autobiographique qui rappelle le clivage tenace entre Juifs orientaux et occidentaux dans ce pays et les injustices subies par les Mizrahim et autres Juifs considérés comme "d’Orient".

Le marché du Carmel, situé dans l’un des derniers quartiers rappelant le Tel-Aviv d’antan, est menacé par la gentrification galopante, avertit cette journaliste.