Hier fidèles d'entre les fidèles du leader Insoumis, les deux députés ne s'interdisent plus de penser à l'après-« Méluche »,voire le préparent.

Présenté comme l'alternative la plus crédible à Trump chez les républicains, le gouverneur de Floride ne décolle pas dans les sondages.

Le président du parti d'extrême droite et son mentor politique ont bâti depuis 2019 un tandem fondé sur la répartition des rôles.

A un an de la présidentielle, l'hypothèse - vraisemblable - d'un retour de l'ex-président provoque des sueurs froides dans le monde entier. Sommaire. Au secours, Trump revient ! Une garde rapprochée renouvelée. La bataille de la Maison-Blanche .« On veut Trump, on veut Trump ! ». Ukraine, la crainte d'être abandonné. Françoise Coste : "S'il revenait de nos jours, Reagan ne reconnaîtrait rien"

Drapée dans les habits du pragmatisme, Marine Le Pen s'échine à se respectabiliser. Mais son logiciel politique reste à définir.

Après 2023, année compliqué pour le leader des Insoumis, 2024 n'arrangera rien à ses affaires. Et si la Nupes, sa création, l'avait piégé ?

Très populaire, l'ancien chef d'état-major tient le destin politique de l'Etat hébreu entre ses mains et incarne une vraie alternative à Netanyahou.

Entouré de sa garde rapprochée, la tête de liste du parti d'extrême droite laisse dans le flou les élus RN et réduit au minimum ses relations presse.

Pour la tête de liste des écologistes, Marie Toussaint, inaudible et parasitée par les vieux démons du parti, l'espoir de réitérer l'exploit de 2019 s'envole

Inconnue du grand public mais respectée dans son parti, la candidate des Ecologistes aux européennes, qui milite pour "la douceur en politique", éprouve toutes les peines du monde à imprimer dans le débat. Par - Photo Stéphane Dubromel

Symbole de la banalisation de l'extrême droite, le candidat du Rassemblement national aux européennes caracole en tête des sondages, et tente de séduire les élites économiques pour se construire un destin national. Mais derrière le visage rassurant de cet ambitieux, le même nationalisme archaïque et la même xénophobie s'expriment encore et toujours. Sommaire. Le piège Bardella. L'enfant gâté de l'extrême droite. "Jordan n'est pas Cosette". L'inquiétante tentation des patrons.

La débâcle des socialistes aux élections de 2017 a des causes multiples, qui ne tiennent pas qu’aux politiques menées et aux promesses non tenues. L’incapacité de François Hollande à discipliner sa majorité compte pour beaucoup dans le discrédit qui a frappé à la fois le Président et son parti. Cette incapacité est un effet non anticipé des primaires ouvertes et des choix initiaux opérés par le Président pour composer son gouvernement. En négligeant les rapports de force internes à son parti, François Hollande a affaibli et divisé ce dernier, et l’a conduit à sa perte.