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Lost in Translation

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Depuis qu'elle a réalisé "Virgin Suicides" il y a cinq ans, il n'y a plus ni "fille de" ni "femme de" qui tiennent. Celle qui a grandi à l'ombre de la barbe à papa et de la casquette de Spike Jonze confirme, avec "Lost In Translation", qu'elle est Sofia Coppola comme personne.
Numéros de page :
6 p. / p. 78-83

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Après un premier long métrage remarqué, "Virgin Suicides", Sofia Coppola franchit avec éclat l'épreuve du second film. Chouchou du dernier festival de Venise, "Lost in Translation" est une comédie du dépaysement qui tient à la fois de la fable burlesque, de la satire sociale et de la rêverie romanesque.
Numéros de page :
7 p. / p. 4-12

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Jadis, au temps des combats, quelques dames de fer inventèrent le cinéma de femmes. Bien plus tard, à l'extrême pointe des années quatre-vingt-dix, Sofia Coppola inventait le cinéma de jeune fille. Soit, une approche intensément féminine (mais débarrassée des préoccupations revendicatrices) appliquée à des films unisexes, posant un regard saisissant, encore naïf mais déjà déniaisé, sur des sujets universels.
Numéros de page :
3 p. / p. 95-97

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Date parution pério
2004-01-01
Avec "Lost in Translation" de Sofia Coppola, Bill Murray propose, à 53 ans, l'une de ses compositions les plus intenses. On connaissait le comique, on découvre le romantique. Portrait.
Numéros de page :
4 p. / p. 64-67

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Date parution pério
2004-01-01
Fidèle à son habitude, la réalisatrice de "Virgin Suicides" a porté une attention toute particulière à la b.o. de "Lost in Translation". Visite dans l'univers musical de Sofia Coppola.
Numéros de page :
2 p. / p. 68-69

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Date parution pério
2005-04-01
Numéros de page :
65 p. / p. 3-68