Pour sa 14e édition, la Biennale de Lyon interroge la notion de « modernité » en plongeant les visiteurs dans les « Mondes flottants » de la création. Entre flux, sensations visuelles et sonores. Sommaire. A Lyon, une biennale en apesanteur. "Faire accéder le spectateur à une dimension sensorielle de l'art", entretien avec Emma Lavigne, commissaire invitée. Autour de Lyon, des "résonances" artistiques. "Revenir à l'espace public comme un espace du vivre ensemble", Adeline Lepine, responsable du projet Veduta. La jeune création a "rendez-vous" à l'IAC.

A la Biennale de Lyon et au musée d'Arts de Nantes, Susanna Fritscher propose des expériences sensorielles où l'espace se recompose.

Ex-maire de la capitale des Gaules, le ministre de l'Intérieur et des Cultes, Gérard Collomb, a développé une pratique ouverte des relations entre les religions et la République. Une indication pour la politique nationale ?

Recherché pour violences, Logan Djian, jeune nervi d'extrême droite gravitant autour du FN, a été arrêté par hasard : il avait emménagé ... tout près du domicile personnel du ministre de l'Intérieur. Mauvais choix. PAR

Privilégiant le fragment et l'assemblage, la jeune maison d'édition lyonnaise trente-trois morceaux inscrit son catalogue dans un dialogue sur des pratiques d'écritures plurielles.

Ça devait arriver : un jour, le cercle polaire deviendrait le cercle polar. A se demander si le mot polar ne vient pas, étymologiquement, de polaire plutôt que de police. « Police polaire », c'est d'ailleurs le nom de code qu'aurait pu prendre pour sa mission notre inspectrice Julie Malaure, partie enquêter sur les crimes dont la Norvège, la Suède, le Danemark, la Finlande ou l'Islande ont fait un produit d'exportation sonnant et trébuchant. Arnaldur Indridason, Camilla Lackberg, Stieg Larsson... Il suffit de prononcer leur nom pour penser glace au sang ou massacre au sauna.

Gérard Collomb, le maire, ne digère pas la candidature de son ex-bras droit David Kimelfeld à la présidence de la métropole.

Myriam et Marie hésitent entre la volonté de parler, de dénoncer, et l’envie de se faire oublier, de tout effacer. Victimes de violences homophobes, à Lyon, le 15 mars 2019, les deux jeunes femmes sont devenues un symbole national, malgré elles. Traumatisées par l’affaire, elles sont restées plusieurs jours recluses. Sous le choc. Tétanisées par la scène qu’elles ont vécue autant que par l’écho médiatique qui enflait, sans leur donner la parole, comme si elles ne s’appartenaient plus.