Il y a, d'un côté, de nouveaux traitements extrêmement prometteurs - virus, anticorps bispécifiques, radiothérapie interne, vaccin, robots... - en test dans des laboratoires du monde entier. Et il y a, de l'autre, des techniques d'analyse toujours plus fines - séquençage cellule par cellule, biopsies liquides, essais sur organoïdes... - bientôt en routine. Au centre, il y a un espoir : l'arrivée prochaine d'une thérapie ultra-spécialisée et d'un traitement adapté à chaque tumeur.

Depuis les années 1980, chercheurs et patients s'échinent à mettre au tapis l'épidémie de VIR.

Les ministres de la Santé et de la Recherche, François Braun et Sylvie Retailleau, dévoilent leur plan pour refonder la recherche médicale française.

Des "embryoïdes" humains viennent d'être développés. Une avancée technologique prometteuse, aux lourds enjeux éthiques.

Le séquençage du génome du virus SRAS-CoV-2 a permis d’identifier et de suivre ses mutations. Adaptée au génome humain, cette technologie de pointe suscite beaucoup de promesses et d’investissements. Mais sa prééminence se justifie-t-elle ? Ne conduit-elle pas à négliger des éléments-clés de la santé publique et la recherche des causes socioéconomiques ou environnementales des maladies ?

Après des dizaines d'années d'essais, 37 téléthons, elle commence enfin à soigner.

La maladie d'Alzheimer touche environ 1 million de personnes en France. Après des décennies d'échec dans la recherche d'un traitement, un nouvel essai redonne espoir aux scientifiques. Le médicament, développé conjointement par un laboratoire américain et un laboratoire japonais, pourrait marquer un tournant dans la possibilité d'un jour ralentir la sinistre détérioration du cerveau. Explications.

Identifiée en 2020, cette pathologie atteint en particulier les hommes de plus de 50 ans. Elle laisse, après la déclaration des premiers symptômes, une espérance de vie médiane d'environ dix ans. Pour le moment, la médecine avance à tâtons.