Fondateur de l'Ecole occidentale de méditation et pionnier de la psychologie positive, il invite chacun à en finir avec les fausses contraintes.

Cet article propose une analyse fondée sur une approche sémiotique des "Exercices spirituels" de saint Ignace de Loyola (1548). Après une mise en contexte historique et une proposition théorique générale sur la méditation dans le contexte chrétien, l'article se focalise sur l'analyse du dispositif défini par le livre ignatien, traité comme objet culturel capable de préfigurer des pratiques et des modalités de construction d'une forme de vie spirituelle.

Au Canada, de nombreux établissements ont fait entrer la "pleine conscience" à l'école. Cette technique de méditation est devenue un outil pédagogique pour améliorer le bien-être et les performances scolaires des élèves.

Le philosophe à succès a conduit pendant un an des ateliers de méditation et de philosophie auprès d'enfants d'origines très diverses. Une expérience décisive et capable, selon lui, de changer le monde.

Des études récentes montrent que les expériences de pleine conscience peuvent avoir des effets néfastes inattendus.

Le bouddhisme fait désormais partie du paysage spirituel occidental depuis plus de cinquante ans - le bouddhisme traditionnel, certes, mais aussi certaines de ses méthodes qui tendent à s'en détacher ou à y échapper, comme la méditation de pleine conscience dont on parle tant. Pour mieux comprendre ce phénomène, il convient de le contextualiser et d'analyser cet événement inédit dans cet Occident qui fut longtemps plus enclin à exporter ses valeurs qu'à rechercher ailleurs un ressourcement spirituel.

A l'heure où tout va trop vite, méditer se révèle être extrêmement bénéfique pour notre santé psychique. Aussi faut-il s'attendre à ce que s'installe durablement dans nos modes de vie cette "gymnastique du mental" accessible à tous.