La côte ouest de la ville de Vias, dans l'Hérault, est menacée par l'érosion côtière et la submersion marine depuis plus de deux décennies. Sauvages et naturels, ses 350 hectares sont peuplés d'habitats légers (mobil homes, caravanes) ainsi que de rares petites maisons en dur. A l'issue du photoreportage et des témoignages des habitants, l'article intitulé "Avis de menace environnementale" explique l'insolite destin cette côte héraultaise.

Une communauté expérimente dans la Drôme un mode de vie fondé sur la sobriété et le respect de l'environnement.

Comment sortir du consumérisme face à la crise écologique ? Plusieurs essais abordent cette question qui hante le débat public sans réussir à s'imposer, mais traverse tous les champs du savoir.

Pour réaliser "Direct Action", Guillaume Cailleau et Ben Russell ont filmé en immersion la vie quotidienne des zadistes de Notre-Dame-des-Landes.

Les congés payés et la réduction du temps de travail appartiennent à l’histoire des combats pour l’émancipation des travailleurs. Mais, aujourd’hui, ces luttes vont de pair avec l’indispensable bifurcation écologique. Prôner le bien-vivre, c’est aussi refuser la croissance infinie qui ne satisfait que les capitalistes et détruit notre cadre de vie. Sommaire. Le droit à la paresse, c'est (toujours) de gauche ! L'IA peut-elle fabriquer du temps libre ? "200 jours de repos par an". Le "travailleur idéal" bosse tout le temps. Partage des tâches : des codes à changer.

Dans l'Angleterre du XIXe siècle en pleine industrialisation, l'écrivain socialiste Edward Carpenter (1844-1929) fait le choix de se dépouiller du superflu pour mener une vie plus proche de la nature. Celui que l'on surnomme le "Henry David Thoreau britannique" voit dans la sobriété un moyen de renouer avec l'essentiel.

Je m'appelle Noa et je vis au sein de l'Oasis Kerlanic, en Bretagne. C'est un lieu de vie alternatif installé dans une ferme du 17e siècle sur un terrain de 2 hectares. On y vit en adéquation avec la nature et on produit le plus possible ce dont on a besoin. Ce lieu a été créé en 2015 par ma mère. Elle voulait plus d'espace, d'autonomie et de liberté.