Constatant le dévoiement techniciste de la morale naturelle, fondamentalement athée, J. Ellul pose les bases d'une réflexion sur la morale chrétienne aussi impossible qu'indispensable. Il tente ainsi d'articuler la critique de l'idée que vouloir connaître le bien est un péché, à la réflexion théologique et philosophique sur le bien.

Le cardinal Schönborn propose un approfondissement de la foi grâce au caractère vivant de la Parole de Dieu et sa proximité du quotidien. Si chaque homme est responsable de ce qu'il fait ou de ce qu'il ne fait pas, il n'est pas laissé seul sur le chemin : la grâce de l'Evangile est toujours là comme une promesse à saisir et des exemples sont présents dans la vie quotidienne.

Une décision efficace, qu'elle soit prise dans un cadre institutionnel (entreprise, administration, armée) ou personnel (familial) doit nécessairement se fonder sur un dialogue constant avec une éthique fondamentale, celle de la recherche du bien, et sur l'analyse lucide de la réalité. C'est à partir de là que se dessine un nouvel humanisme articulant le bien et la liberté. ©Electre 2018

Suite de la réflexion du théologien protestant sur la morale chrétienne à travers une analyse des rapports entre dogmatique et éthique ou entre loi et Evangile, de l'interprétation des textes bibliques ou de la place de l'amour dans l'éthique chrétienne. ©Electre 2018

Ces contributions, issues d'un colloque tenu à Sète en 2016, apportent une réflexion autour de la notion de frontière pour éclairer son ambivalence ainsi que sur le statut d'immigré. Les questions de la territorialité et de l'expulsion sont interrogées à la lumière de la Bible. ©Electre 2017