"La Cheffe", roman d'une cuisinière, de Marie NDiaye, a divisé la rédaction. Régal littéraire ou recette trop élaborée ? Le débat est lancé.

Sous une apparente humilité, Marie NDiaye signe un roman virtuose qui emprunte aux grands classiques pour dire la vie d'une cheffe : de la pauvreté au succès, jusqu'à sa chute. Comment rester fidèle à soi ? Un texte doucement sublime.

Brillamment mise en scène par Frédéric Bélier-Garcia, la dernière pièce de Marie NDiaye dénonce les dérives populaires et les moeurs des politiques pour alerter sur la ruine présente du rêve républicain.

Le destin d'une jeune bonne devenue grande cuisinière, vu par l'un de ses apprentis amoureux. Avec ce roman aux airs d'autoportrait décalé, Marie Ndiaye livre l'un des sommets de son oeuvre.

Femelle vengeresse ou Eve moderne, proie des hommes ou fée émancipée. La rentrée 2016, d'Ivan Jablonka à Marie NDiaye, raconte les femmes d'aujourd'hui avec plus de nuances et de subtilité que tous les essais sur la question. Le roman et l'autobiographie sont-ils les armes d'un nouveau féminisme narratif ?

L'histoire d'une cheffe étoilée, et plus encore d'une artiste. Dans son dernier livre, la romancière décortique le processus créatif.

A travers la vie imaginaire d'une cheffe cuisinière, la romancière esquisse un autoportrait en trompe-l'oeil.

Marie NDiaye revient avec un roman sur l'art culinaire qui porte surtout sur l'art d'écrire.

Le nouveau livre de Marie NDiaye, Trois femmes puissantes, semble constituer l'événement littéraire de la rentrée. Deux de nos collaborateurs donnent leur avis.

Un des événements d'une actualité théâtrale très riche, entre deux périodes de congés scolaires, est la programmation à la Colline de la dernière pièce de Marie NDiaye, ″Les Grandes Personnes″, même si le spectacle de Christophe Perton ne convainc pas pleinement, pour des raisons toujours difficiles à démêler lors d'une création, liées au texte et/ou à la mise en scène.

Comment caractériser un envoûtement ? De ″La Sorcière″ à ″Trois femmes puissantes″ en passant par ″Rosie Carpe″ ou ″Mon coeur à l'étroit″, les romans de Marie NDiaye exercent un charme, au sens ancien et magique du terme, et celui-ci n'y fait pas exception. La sorcellerie de l'auteur s'y déploie sur quatre cents pages et quatre générations de femmes, poignante et retorse, à tordre le coeur.