Maltraités par l'Histoire, de nombreux Indiens se sont enflammés pour Aigle noir. Ils attendent aujourd'hui beaucoup de lui

Style, idéologie, méthode : tout sépare les deux hommes. Mais le Premier ministre canadien aurait tout à gagner à s'amender et à se rapprocher de Washington.

Transformer le vaste réseau de bénévoles qui a contribué à son élection en une machine de guerre politique, tel est le défi du nouveau président américain. Ses objectifs : organiser un soutien populaire et, plus tard, se faire réélire

Depuis que Barack Obama a fait campagne, remarque The New York Times, bien des bouleversements ont eu lieu dans le monde. Le 44e président des Etats-Unis, installé le 20 janvier 2009 à la Maison-Blanche, ne s'attendait pas à devoir gérer à chaud le dossier palestinien.

Ils sont fils d'immigrés ; ils mêlent glamour, politique et vie privée, et ils ont créé une très forte attente. Les présidents français et américain ont tout pour s'entendre

Si Barack Obama veut vraiment sortir le pays du marasme, il doit adopter une politique inspirée par le peuple. C'est du moins l'opinion de John B. Jusdis, qui s'appuie sur l'exemple du New Deal de Roosevelt

Alors que la crise fait rage et que les dossiers urgents s'accumulent, les nouvelles règles d'éthique mises en place par le président entravent la nomination de plusieurs centaines de hauts fonctionnaires.

En prenant les rênes de l'industrie automobile, le président Obama fait un pari risqué. Si les ouvriers du secteur perdent leurs avantages sociaux, c'est lui qui en portera la responsabilité.

Malgré le lancement de la fusée nord-coréenne, le président américain a réaffirmé sa volonté de réduire son arsenal nucléaire, soulignant que son pays devait servir d'exemple au reste du monde.

La diplomatie américaine est bien trop molle pour que Washington parvienne à ses fins. Le président a tout intérêt à muscler son discours, explique le chroniqueur Thomas L. Friedman

Voilà plus de cent jours que le président a pris la direction du pays. Un premier bilan s'impose et il est plus que positif. Tel est le verdict de Newsweek.

L'ancien vice-président est devenu le principal opposant à la nouvelle équipe en place. Au point d'irriter certains républicains qui préféreraient qu'on oublie les années Bush