Si les accords récents entre quatre pays arabes et l’Etat hébreu sont conspués dans le monde arabe, c’est parce qu’ils sont à présent publics. C’est la fin de cette hypocrisie qui dérange, estime ce site libanais.

Le "deal du siècle" proposé par Donald Trump a été conclu avec l'accord de plusieurs Etats arabes. Les Palestiniens crient à la trahison, mais entre eux et leurs "frères", il n'y eut jamais de lune de miel. Plutôt une lune de fiel.

Pour "Notre monde brûle", le Palais de Tokyo invite le Mathaf, le musée d'Art moderne et contemporain du Qatar. Ses collections et sa programmation explorent la bouillonnante création arabe. Mais peut-on séparer le musée de l'Etat ?

Une exposition au Palais de Tokyo donnera l'occasion au public parisien de découvrir une collection unique en son genre : celle du Mathaf, musée de Doha consacré à l'art moderne et contemporain des pays arabes - et au-delà. Sans omettre les sujets qui fâchent.

Depuis leur apparition en 1928 en Egypte, puis leur extension dans le monde arabe, les Frères musulmans ont alterné des périodes de clandestinité et d'activité légale, se concentrant sur la daawa (prédication) et le travail caritatif. En 2011, les "printemps arabes" marquent une rupture : ils agissent dans un contexte ouvert où les scrutins confirment leur place prépondérante dans le paysage politique. Dix ans plus tard, les Frères sont de nouveau isolés.

La quête de la transmutation de la matière a longtemps été considérée comme une discipline exclusivement fondée sur des principes occultes et mystiques. Mais des travaux réalisés sur les métaux dans le monde arabo-médiéval laissent transparaître des éléments caractéristiques d’une science chimique qui n’émergera que des siècles plus tard.