On observe d'énigmatiques effets d'extinction ou de scintillation en dehors du point de fixation du regard ; le cerveau alterne entre des interprétations à faible et à forte résolution.

Divers systèmes de vision - l'oeil lui-même - évaluent avec efficacité le rayonnement thermique émis par les objets.

Des illusions de la perception visuelle résultent souvent de la compétition entre les deux hémisphères cérébraux, chacun d'eux interprétant une scène ambiguë d'une façon différente.

L'étude des performances visuelles de personnes atteintes de lésions cérébrales montrent que certaines caractéristiques d'un objet peuvent être présentes dans le cerveau sans que l'on ait conscience de voir l'objet.

La mystérieuse séduction d'une composition rocailleuse du XVIe siècle correspond à un modèle neurobiologique de la perception visuelle.

Ou comment les libertés que prend un peintre avec la physique trahissent les mécanismes de la vision.

La Joconde et le président Abraham Lincoln ont quelque chose en commun. Mais quoi donc ?

Comment savez-vous que le ciel que vous voyez bleu, est également bleu pour votre voisin ? Des sujets réagissant de la même façon à des stimulations similaires peuvent-ils éprouver des sensations différentes ? Ces questions préoccupent les philosophes et l'expérience dite du spectre inversé apporte des réponses.

Des conflits cognitifs surgissent quand notre perception n'est pas en accord avec notre intellect. Certaines figures impossibles mêlent réalité et illusion, mettant au défi nos capacités de raisonnement.

Une méthode de visualisation de données rend hommage au peintre néerlandais, célèbre pour ses compositions abstraites. Elle est fondée sur l'idée d'arbre, un motif essentiel dans l'évolution de l'oeuvre de Mondrian.

Reconnaître les traits facieux de ses congénères ne requiert pas un cerveau complexe. Certains insectes sont étonnamment doués pour cette tâche.