Les autorités nigérianes ne contrôlent plus les zones de production pétrolière du pays. Une situation qui pourrait avoir de lourdes conséquences sur l'économie nationale et internationale.

La Géorgie ne peut plus être considérée par les Occidentaux comme un territoire sûr pour le transit des hydrocarbures de la Caspienne. Retour sur un épisode majeur du grand jeu stratégique dans la région

La baisse des cours de l'or noir incite producteurs et négociants à constituer des stocks dans l'espoir d'un rebond des prix. Résultat : les réservoirs sont pleins à ras bord

Depuis le 20 avril 2010, le golfe du Mexique vit un cauchemar. Des millions de barils de pétrole se sont déversés dans ses eaux, souillant côtes et marais. Malgré les espoirs suscités par le couvercle installé le 15 juillet par BP, la catastrophe aura un immense retentissement. Il est urgent que l'industrie pétrolière renoue avec le principe de précaution, soutient l'essayiste Naomie Klein.

Le constat du quotidien ″El Pais″ est clair : i l n'y a pas de doctrine européenne en matière de politique étrangère. Et les institutions européennes ne permettent pas les prises de décision. Résultat : les Vingt-Sept sont prudents, ou complaisants (selon ″La Stampa″). Peut-être l'UE se réveillera-t-elle lorsque Kadhafi tombera ?

Alors que les Etats-Unis sont entrés dans le cercle des grands pays producteurs, le cours de l'or noir a chuté de moitié depuis l'été 2014, sur fond de guerres souterraines, économiques et géopolitiques. Une évolution porteuse de promesses pour la croissance - y compris en Europe - mais aussi de périls.

L'énorme fonds souverain norvégien est trop sage. Ses rendements sont insuffisants. Mais la scission est-elle une solution ?