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Phantom Thread

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Il s'est astreint à peindre avec les orteils pour "My Left Foot", à dépecer des animaux pour "Le Dernier des Mohicans", à forer à la recherche de pétrole pour "There Will Be Blood"... Depuis ses débuts, Daniel Day-Lewis pousse la pratique de son art à l'extrême, s'appropriant ses personnages par une maîtrise totale de leurs gestes. Un investissement si éprouvant que le Britannique espace les tournages et pense à chaque fois raccrocher. A 60 ans, son rôle d'un grand coututier dans "Phantom Thread" pourrait lui valoir un quatrième Oscar. Et une retraite définitive... ou pas.
Numéros de page :
pp.31-37

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Paul Thomas Anderson pose sa caméra dans le monde de la haute couture. Et filme un génie et sa muse. Mais "Phantom Thread" déjoue brillamment nos attentes... Sommaire. Mange-moi, la critique du film par François Bégaudeau. "Daniel Day-Lewis est un bel homme et j'aime le voir bien habillé", interview avec le réalisateur.
Numéros de page :
pp.48-55

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Bulletin : Première 482
Le plus grand acteur du monde fait ses adieux au cinéma. Encore ? ! Oui, mais cette fois c'est sérieux. "Phantom Thread", le film de Paul Thomas Anderson, l'a mis K.-O. Logique après tout : c'est l'histoire d'un artiste génial épuisé par son désir de perfection.Toute ressemblance avec Daniel Day-Lewis ne serait donc pas un coïncidence. Sommaire. Victime de la mode. "Sa retraite, je ne préfère pas penser", Paul Thomas Anderson. The Master.
Numéros de page :
pp.42-49

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"Phantom Thread" n'est ni un film sur la mode, ni l'autoportrait de son auteur en créateur obsessionnel, ni une énième variation sur le thème du coup de foudre qui se transforme en amour écrasant. Il y a de tout cela, bien sûr : la précision avec laquelle Paul Thomas Anderson restitue l'univers d'une maison de couture londonienne des années 50 et le travail auquel on s'y livre rappelle naturellement le penchant pour l'obsession du cinéaste. Mais le coeur du film se trouve ailleurs. Sommaire. Film fantôme. Trois cimes.
Numéros de page :
pp.20-22, 24-27

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Paul Thomas Anderson est un des cinéastes les plus surprenants du moment. Il embrasse les milieux, les époques, les genres et, tout en poursuivant le même type de personnage obstiné, dominateur, masochiste, propose un éventail stylistique aux nuances infinies. Qui aurait pu prévoir que le cinéaste allait retrouver le rugueux Daniel Day-Lewis de "There Will Be Blood" sous les traits d'un couturier raffiné de la gentry des années 1950 ?
Numéros de page :
pp.6-13