Le marché de la friperie est en pleine expansion en France. Fondé sur des arguments écologiques et sentimentaux, il séduit des acheteurs en quête de sobriété, mais encourage paradoxalement la surconsommation.

À l'occasion des 30 ans de la série "Crayon Shin-chan" et de la sortie du dernier film "Mononoke Ninja Chinfûden" (traduction : 'La légende insolite des ninjas animaliers'), de nombreux événements ont lieu dans la capitale japonaise, dont un à la Tour de Tokyo,« OLA SHINNOSUKE FESTIVAL » que nous avons pu visiter.

Extravagants, rebelles, les “macaronis” arboraient des tenues excentriques et des coiffures démesurées. Un mouvement de mode aussi ostentatoire qu’éphémère.

En plein XIXe siècle rationaliste, la bonne société s'enfièvre pour le spiritisme. Exaltés par le progrès technologique, certains savants tentent d'enregistrer les signes de l'au-delà.

Autour d'une bière, avec son chien ou sur un paddle. Le yoga, décliné dans tous les sens, est devenu un marché très lucratif. Qui prône le culte de la performance et alimente les réseaux sociaux. Jusqu'à se dévoyer complètement...

Et si le slam était autre chose que cet art oratoire gentillet décrié par certains ? Et si écouter l'autre se raconter en poésie pouvait faire naître une forme d'émerveillement ? C'est ce que nous avons expérimenté en poussant la porte d'une scène majeure du genre, les "Slam'Aieikoum", et en rencontrant son porte-flambeau, l'acteur Jacky Ida.

Après avoir dirigé pendant vingt ans le concept store parisien Colette avec sa mère, l’entrepreneuse a monté just an idea, une société de conseil aux marques qui édite des livres d'art très contemporains.

Une pétition réclamant la réécriture de la dernière saison a remporté un succès massif sur Internet. Pourquoi ce désamour ?

Modèles uniformisés, ennuyeux et polluants... L'automobile ne fait plus rêver les amateurs de singularité. Reste alors l'alternative vintage

Sur les réseaux sociaux, tous les moyens sont bons pour ressembler à Kim Kardashian. Maquillage, filtres, chirurgie, rien ne semble arrêter une uniformisation devenue mondiale.

Naguère signe d'appartenance à la contre-culture électrique, le T-shirt musical serait aujourd'hui un produit de consommation comme un autre. C'est oublier l'attachement que tout amateur de musique peut porter à ces reliques 100% coton.