Le grand maître maudissant la royauté sur le bûcher est l'aboutissement d'une traque menée contre la bête noire du monarque, le Temple : FAUX.

Il y a 700 ans, le 18 août 1304, le roi de France défait le comte de Flandre, Guy de Dampierre, à Mons-en-Pévèle.

En ce printemps 1302, les trois ordres sont convoqués, nobles, prélats, délégués de toutes les villes s'assemblent sous l'autorité de Philippe le Bel. L'enjeu est capital...

Entre 1285 et 1328, sous le règne de Philippe le Bel et de ses fils, la vie est bien sombre en France. Pourtant, l'art gothique atteint des sommets de raffinement.

Surnommé le Bel en raison de sa beauté physique, petit-fils de Saint-Louis, Philippe IV (1285-1314) est un roi à la personnalité énigmatique. Froid, rigide, autoritaire, il possède aussi les qualités d'un grand roi.

Dans la lignée de plusieurs études récentes consacrées à des procès confrontant l'autorité royale aux pouvoirs locaux, cet article se propose d'utiliser la riche documentation du procès qui s'est ouvert en 1269 entre l'évêque de Mende et le roi de France comme pierre de touche de l'évolution de la théorie du pouvoir royal au tournant des XIIIe et XIVe siècles.

Une exposition sur le Moyen Age où les oeuvres d'art ne figurent pas simplement à titre de témoignage ou de "document" historique mais sont exposées pour elles-mêmes, n'est pas chose si fréquente...

Les guerres de Philippe le Bel ont mené le royaume au bord de la faillite. Pour s'en sortir, il a choisi de supprimer ses banquiers.

Le règne des derniers Capétiens (1285-1328), entaché de disettes et de scandales politiques, a favorisé un art animé de piété et d'insolence, longtemps ignoré par l'histoire de l'art. Une exposition au Grand Palais le réhabilite.

Un corps, deux sépultures : Philippe le Bel est le premier roi capétien à décider de son vivant de disposer de deux tombeaux. Un choix dicté par l'air du temps mais aussi un moyen d'asseoir un peu plus encore le pouvoir de sa dynastie.