Sur le renouveau du modèle de croissance, les candidats, quels qu'ils soient, sont pour le moins discrets.

Les économistes divergent sur les causes du sous-développement. L'hebdomadaire allemand "Die Zeit" s'est rendu en République centrafricaine pour chercher des explications.

"L'Express" et "BFM Business" ont soumis les programmes des principaux candidats au test d'un modèle économétrique pour évaluer leur impact sur le chômage, les déficits publics et la croissance. Sommaire. François Fillon : la thérapie de choc. Benoît Hamon : la recette keynésienne. Marine Le Pen : le saut dans l'inconnu. Emmanuel Macron : 50 nuances de réformes. Jean-Luc Mélenchon : la relance taille XXL.

Lisbonne joue à fond la carte du bon élève de l'Europe : la croissance redémarre, le chômage recule, et les déficits publics fondent. Le pays fait figure de nouvel eldorado pour les entreprises européennes.

La "recomposition économique" va se jouer sur la capacité à convaincre une opinion prompte à la chasse aux sorcières libérales. Pas de chiffres.

Alors que N'Djamena va tenter de collecter 3 milliards d'euros à Paris début septembre, ce pilier du gouvernement défend les efforts engagés par le pays pour relancer son économie. Entretien.

Le Ministre de l'Economie a compris que la Macronie ne tolérait pas l'affichage des ambitions. Cela ne l'empêche pas de défendre des positions pas toujours conformes à celles de l'Elysée.

Marché du travail, fiscalité, dépenses publiques, retraites... L'heure de vérité a sonné pour le président.

Révélateur. La France continue de s'endetter. La réforme des retraites se vide en partie de son contenu. Les 35 heures sont toujours en place... Mais le président confirme vouloir« agir avec vigueur». Sommaire. S'est-il dégonflé ? Macron face aux "ingénieurs du chaos". Retraite, une réforme réformée... Ces "crapules" qui veulent la peau d'Edouard Philippe. Monsieur, relisez Tocqueville !

Les participants arabes à la conférence de Bahreïn sur le conflit israélo-palestinien ont vilipendé l’Autorité palestinienne, tout en estimant que la paix ne peut être obtenue sans solution politique.

A la veille des élections législatives du 17 septembre 2019, le Premier ministre répète qu’il a fait de l’économie "une énorme réussite". Mais les chiffres montrent une réalité différente.

Si la mise en Bourse de la Française des jeux pourrait être effective d'ici à fin novembre, Bercy conservera un contrôle total sur la future entreprise privatisée.