Atteint du Covid-19, Abdelmadjid Tebboune, 75 ans, a été évacué en Allemagne fin octobre 2020. La presse s’inquiète d’une vacance au sommet de l’Etat. Sommaire. Mystère sur l'état de santé du président. Le retour rêvé d’Abdelmadjid Tebboune

Le décès inopiné d'Ahmed Gaïd Salah, chef d'état-major de l'armée et homme fort du régime depuis la chute de Bouteflika, change la donne pour le nouveau président. Qui a décidé de jouer la carte de l'apaisement.

Expérimenté, discret, travailleur... Le profil du nouveau chef du gouvernement plaide en sa faveur. Mais la tâche qui lui échoit est colossale. Portrait.

Un an après la crise de confiance entre le pouvoir et la population, le nouveau chef d'état-major a la lourde tâche de moderniser et de rajeunir l'institution militaire, ainsi que d'oeuvrer à la réconciliation que prône le président Tebboune.

Depuis son élection à la présidence, en décembre 2019, Abdelmadjid Tebboune procède à une refonte progressive de l'armée et des services de renseignements. Simples agissements ou révolution de velours ?

Un an après la démission d'Abdelaziz Bouteflika, le régime profite de la pandémie pour reprendre le pays en main. L'économie plonge et la jeunesse se sent trahie.

Economie au ralenti, situation politique incertaine, société civile entravée... Le pays, pôle de stabilité au Maghreb, vit des heures cruciales. Enquêtes et reportages. Sommaire. Une société fragmentée. Une puissance stable dans un environnement chaotique. Saïd Bouteflika, le "vice roi" de l'ombre. Sous le socialisme, les start-up. La machine à paix social. Le printemps intellectuel. Sonatrach, affaire d'Etat. "Z'migri toi-même !". Un conte où l'on mange les enfants.

120 000 fidèles, un minaret colossal, des milliards d'euros d'investissement : l'édifice constitue un véritable défi. Mais son chantier concentre tous les maux de l'Algérie. Enquête.

Les proches du président ont dû jeter l'éponge en quelques heures. Récit.

Jour après jour, les manifestants algériens rejettent l’hypothèse d’un maintien de M. Abdelaziz Bouteflika à la tête de l’État. L’entourage du président multiplie les manoeuvres dilatoires pour préserver le statu quo. La contestation populaire contre le régime met en évidence l’opacité d’un pouvoir partagé entre plusieurs clans.

En Algérie, le Hirak, ou mouvement de contestation populaire, entamé le 22 février, ne faiblit pas. Après avoir obtenu la démission de M. Abdelaziz Bouteflika, il entend s’opposer à l’élection présidentielle, fixée au 12 décembre. Conspuant les cinq candidats du sérail en lice pour le scrutin, les manifestants réclament une période de transition et une refonte du système. Une exigence à laquelle le pouvoir oppose une fin de non-recevoir

Chef d'état-major depuis fin 2019, ce général de 79 ans est, avec le président Tebboune, l'un des deux hommes les plus puissants du pays. Vu de Rabat, il est aussi celui qui veut mettre le Maroc à genoux. Portrait d'un vétéran plus politique qu'il n'y paraît.