La crise du coronavirus, début 2020, a provoqué un nouveau choc pétrolier mondial, à la suite de l'effondrement de la demande. Les coûts ont affiché des niveaux bas historiques, passant même dans le négatif, et cette guerre des prix a bouleversé les relations entre les principaux pays producteurs. L'arrangement entre les Etats-Unis et l'Arabie Saoudite semble désormais appartenir au passé, tandis que l'OPEP, Organisation des pays exportateurs de pétrole, n'a pas su saisir l'occasion pour affirmer son leadership.

Des prévisions montrent que si, à court terme, c'est le cours du baril du pétrole qui paraît incertain, à long terme, l'horizon de l'avènement de l'après-pétrole le serait tout autant.

Le choc pétrolier de 1973 représente une rupture radicale dans l'histoire des pays industrialisés : c'est la fin des certitudes des Trente Glorieuses et l'entrée dans une période d'instabilité économique chronique. Retour sur cet événement désormais lointain mais qui nous concerne encore dans bien des aspects de notre vie quotidienne. Détails. Pas de chiffres.

En décidant de plafonner le prix du baril russe, l’UE, le G7 et l’Australie portent un coup à la principale source de devises de Moscou. Mais ils doivent rester prudents : le risque d’une flambée des prix plane, analyse le quotidien espagnol.

Le conflit au Moyen-Orient n'a pas fait bondir le prix du pétrole, qui continue même de baisser à cause de la faible croissance chinoise. Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche pourrait toutefois inverser la tendance. Détails. Quelques données chiffrées.