Des émeutes meurtrières entre hindous et musulmans ont eu lieu début septembre 2013, attisées par les partis politiques qui cherchent à polariser les communautés en vue des législatives de 2014.

Le pouvoir lance une campagne télévisée contre la Toile mondiale, accusée de nuire à la moralité de la jeunesse ouzbèke.

La vague de révolutions dans le monde arabophone a provoqué au PC chinois une profonde crainte des soulèvements populaires contre les gouvernements non démocratiques, et du chaos qu'ils peuvent provoquer. Le rôle des institutions occidentales et de la technologie, qui ont soufflé sur les braises de ces révoltes, a bien été noté à Pékin.

Le communiqué noir et sang de Daech

Le bourreau de l'EI qui a été identifié est en fait une marque créée par l'organisation terroriste afin d'assurer sa promotion. Voilà qui nous rappelle la nécessité de s'attaquer aux causes de la radicalisation des jeunes.

Le regain de tensions entre l'Est et l'Ouest a fait réapparaître le spectre de la guerre froide et son pendant, le recours à la propagande. Entre Washington et la Russie, la guerre de l'information fait rage, l'Europe essayant elle aussi de faire entendre sa voix. Mais le public n'a plus confiance dans les médias. L'affrontement est devenu mondial : au Moyen-Orient, Daech a compris l'intérêt de recourir à Internet, tandis que le pouvoir d'influence de la Chine inquiète l'Occident. Sommaire. Washington et ses mercenaires de l'information. L'Europravda, non merci !.

Fin 2014 Daech annonçait la création de sa propre monnaie. Les espèces apparues à l'été 2015 montrent qu'elles sont surtout un outil de propagande.

Comment le djihad est devenu une affaire d'autoentrepreneurs du terrorisme.

La propagande visuelle de l'Etat islamique épouvante les populations.

Dans son documentaire, "Le Studio de la terreur", Alexis Marant s'interroge sur la sophistication des images conçues par l'EI. Un véritable studio de production de films s'inspirant d'Hollywood, des jeux vidéo et de la pop culture.