Comment échapper à l'opposition caricaturale entre un Occident pacifié par la sécularisation et un Orient musulman où celle-ci serait inconcevable ? En s'affranchissant tout d'abord de la méconnaissance de l'histoire de l'islam, commune aux Européens rationalistes et aux fondamentalistes islamistes. Mais en observant aussi, par-delà les conflits de l'actualité, quelques signes d'une séparation en cours de la religion et du pouvoir dans certains Etats arabes et en Occident.

Il est devenu un mythe : Galileo Galilei, l'homme qui a révolutionné l'astronomie en prouvant que la Terre tournait autour du Soleil. On s'interroge encore sur les raisons du procès que lui fit l'Eglise.

Les assemblées de Belgique ont connu quelques prêtres rouges, plusieurs abbés conscients et des frères résistants. Des religieux dont l'engagement politique a parfois mené aux listes des partis, et souvent suscité le courroux des autorités ecclésiastiques. Des Marolles au pays noirs, "Wilfried" a voulu pénétrer les voies de la foi en la chose publique.

Le candidat des Républicains joue la carte de la religion pour rassembler les électeurs catholiques, estime ce journal américain. Une incongruité dans le pays de la laïcité.

Une époque incertaine, une inquiétante tendance au repli et une classe politique qui court après les populismes Et s'il ne restait que François pour nous proposer un futur engageant, une vision du monde humaine et solidaire ? se demande le site "Linkiesta". A moins que ce pape proche des gens, son discours anticapitaliste et son image de rock star ne soient qu'une imposture, une légende forgée par les médias ou l'étendard d'une gauche qui manque de réalisme, comme le suggère un spécialiste des mouvements populistes d'Amérique latine dans "Il Foglio". Sommaire.