Consulats, mosquées, réseaux sociaux... Comment le pouvoir algérien veut déstabiliser la France. Sommaire. Les réseaux du régime algérien en France. La prophétie d'un exilé. Les incendiaires des réseaux sociaux. Le prix de la peur. Pierre Vermeren : "La France est considérée comme un État faible".

Peut-on encore survivre socialement sans notre smartphone ? Dans cette ère de la société et des objets connectés, les réseaux sociaux, ces outils d’interconnexion, sont devenus un élément essentiel de notre vie quotidienne. Dans ce monde de likes et de commentaires, ils offrent de nombreux avantages pour communiquer, s’informer et se divertir. Toutes les connexions humaines sont possibles, tant sur le plan professionnel que personnel. Depuis leur création, deux générations se sont appropriées leur usage, tant sur le plan personnel que professionnel.

Les réseaux sociaux, qu’ils soient professionnels ou personnels, ont transformé notre société et exercent une influence croissante sur le secteur hospitalier. Les établissements de santé et médicosociaux, leurs personnels et usagers, les utilisent largement, soulevant des questions sur la vie privée et la liberté d’expression.

Les réseaux sociaux bouleversent la communication dans les hôpitaux, posant de nouveaux défis pour l’identité professionnelle et la cohésion des équipes soignantes. Face à ces enjeux, le cadre de santé joue un rôle crucial en encadrant ces usages et en proposant des solutions innovantes comme le management visuel pour maintenir de vraies relations humaines fort au sein des équipes.

Cet article est issu d’une réflexion autour de situations professionnelles rencontrées sur des unités de soins et autour du cadre qui en réglemente les activités. L’utilisation par les soignants pendant leurs heures de travail des téléphones portables et des réseaux sociaux interrogent la relation qui existe entre eux et leur cadre manager.

Les réseaux sociaux ont pris une place croissante dans le quotidien de la population depuis le début du XXIe siècle. Leur usage par les professionnels de santé, plus spécifiquement les infirmières et les étudiants en soins infirmiers, revêt un caractère particulier car ils peuvent constituer une ressource précieuse. Ils peuvent également contrevenir à la déontologie infirmière ou encore aux règlements des établissements de santé ou des instituts de formation.

En tant qu’enseignant, j’utilise les réseaux sociaux pour enrichir ma pédagogie et mon développement professionnel. Ces outils offrent de nombreuses opportunités : création de contenus originaux, curation de ressources, interactions avec les apprenants et les pairs, acquisition de nouvelles compétences, etc. Mais leur usage présente aussi des défis : fiabilité des informations, gestion de l’infobésité, biais des algorithmes.

Avec son application numérique Kolibri® au service d’un réseau social, l’association L’enfant@l’hôpital relie des jeunes patients pris en charge par des équipes dans des services de soins et des voyageurs aux quatre coins du monde. Transformer un réseau social en un outil de médiation et de soins au service de rencontres vraies et nourrissantes, voilà le défi innovant que relève au quotidien cette association.

Les réseaux sociaux sont omniprésents dans la vie des étudiants infirmiers. Ils offrent à la fois des opportunités d’apprentissage et nécessitent des règles d’usages en matière de respect du secret professionnel et de gestion de la réputation numérique. Dans le cadre de ses missions, La Fédération nationale des étudiants en sciences infirmières souhaite promouvoir une utilisation responsable et éclairée de ces nouvelles pratiques, axée sur leur intégration dans la formation des étudiants en sciences infirmières.

Les agents demeurent soumis à leurs obligations professionnelles et statutaires, même dans la sphère privée. L'anonymat ou la faible visibilité de la publication n'exonère pas l'agent de ses obligations. L'employeur public peut recourir à des éléments de preuve issus des réseaux sociaux dans les limites du principe de loyauté.

Marc Zuckerberg veut “restaurer la liberté d’expression” sur ses plateformes. Une victoire sur le “complexe industriel de la censure”, selon l’éditorialiste trumpiste du "New York Post". Vu d’Europe, cette volte-face apparaît comme une défaite face à la désinformation. Sommaire. Oui. C’est le retour de la liberté d’expression, selon le "New York Post". Non. Marc Zuckerberg a capitulé, selon "Der Spiegel".