Isolé, acculé, l'ex-président ivoirien a ouvert un autre front : l'opinion africaine contre l'ingérence occidentale. Cette stratégie le met à l'abri ni d'une intervention militaire ni d'un étouffement économique. Enquête.

Un journaliste birman propose de lier le processus de réconciliation politique à l'aide économique, indispensable pour consolider la monnaie locale et lutter contre l'inflation.

Menacé de sanctions par la communauté internationale depuis la répression du 28 septembre 2009, le régime espère que les Chinois lui permettront d'échapper au pire.

Un quotidien officiel dénonce les sanctions votées par l'ONU comme autant de manigances américaines. A Pyongyang, l'humeur est très belliqueuse.

En Corée du Nord, le régime semble insensible aux sanctions internationales : il multiplie les tirs de fusée, lance de grands chantiers et promet des lendemains qui chantent. A l'écart des villes, pourtant, la faim rôde.

Mi-décembre 2014, la Cour pénale internationale a abandonné les charges pesant sur le président du Kenya Uhuru Kenyatta et suspendu ses enquêtes au Darfour. L'adoption de sanctions serait-elle plus efficace ?

Une intervention militaire directe auprès des insurgés syriens, il n'en est pas question. Mais une série d'actions simultanées pourrait être efficace. Le plan B des experts...

Les tenants de part et d'autre de la ligne dure auront-ils raison de la volonté d'ouverture iranienne ?

La mise en cause de BNP Paribas par la justice américaine ne va pas arranger les relations déjà compliquées entre Paris et Washington.

A l'heure où l'on cherche à établir des normes et des règles internationales dans le cyberespace, on trouve deux écoles. D'un côté, le "Manuel de Tallinn", rédigé par un groupe d'experts sous les auspices de l'Otan, analyse comment le droit des conflits armés s'applique au cyberespace. Les attaques dans le domaine du cyberespace ne différeraient en rien des autres formes d'attaques et la légitime défense autoriserait les nations à répondre violemment, tant qu'il y a une forme de proportionnalité entre les dommages causés par la cyberattaque initiale et la réponse cinétique.