Cannabis, kétamine, ayahuasca... mais surtout LSD microdosé. Dans la Silicon Valley, on ne s’interdit rien pour améliorer sa créativité et ses performances.

Il a créé sa boîte, l'a vendue à Google... Une success story ? Plutôt le début d'une prise de conscience pour cet ingénieur qui alerte sur les travers de « l'économie de l'attention ».

Depuis plus de trente ans, la Silicon Valley est connue comme le berceau mondial de l'innovation. Elle a donné naissance à une ribambelle de géants de la technologie et ses "success stories" ont fait renaître le rêve américain. Mais la Silicon Valley est-elle aussi toute-puissante qu'elle voudrait le faire croire? Retour sur ses limites avec The Atlantic.

A rebours des idées progressistes de la Silicon Valley, ce milliardaire, cofondateur de PayPal et investisseur dans Facebook, promeut des idées libertariennes et anti-Etat. Une biographie qui vient de paraître aux Etats-Unis met en lumière son action au service de Donald Trump et de la droite radicale américaine.

Lieu ou métaphore, la Silicon Valley n’en finit pas de faire fantasmer. Synonyme de réussite économique, creuset de start-up devenues des multinationales, elle constitue aussi l’éden de toutes les rêveries techno-futuristes. Sommaire. Ne soyez pas malveillants : utopies, frontières et brogrammers. L’égalitarisme automatisé : sur l’idéologie de la Silicon Valley. Le capitalisme de la surveillance : un nouveau clergé. De la classe virtuelle aux ouvriers du clic : la servicialisation du travail à l’heure des plateformes numériques. La nouvelle science des données.

Soucieux d’éviter les prohibitifs loyers et les fortes inégalités de San Francisco, les géants de la tech se pressent dans la capitale du Texas.

Lancer une start-up est plus amusant que gérer les affaires courantes, surtout quand la conjoncture se dégrade, découvrent les patrons de la tech.