Martin Scorsese signe le pilote de ″Boardwalk Empire″.

Pour contrer Netflix et HBO, Amazon s'essaie à la production de séries haut de gamme. Il reste du chemin à faire.

Deux séries américaines ("Friends", "Sex and the City"), "Masculin / Feminin" sur Arte, se posent la question des sentiments sur petit écran. Réponses contradictoires.

Que ce soit avec ″Dr House″, les résidentes de Wisteria Lane (″Desperate Housewives″) ou ceux du quartier du Mistral (″Plus belle la vie″), nombre d'entre nous ont chaque semaine rendez-vous avec leur héros de série préféré. La ″sériemania″ ne date certes pas d'aujourd'hui : dès les années 1960, un programme comme ″Le Prisonnier″ tranche suffisamment de l'ordinaire télévisuel pour captiver les fans, susciter commentaires, lectures et relectures, voire réflexions philosophiques...

Cinq ados, un internat et de la musique... Voici les ingrédients de cette série qui cartonne sur KD2A.

Hier "Friends", aujourd'hui "Plus belle la vie"... Et demain, à quelle série se vouer ? Petit tour des nouveautés télé.

Quel est l'impact des séries télévisées où la police scientifique élucide meurtres et disparitions ? Aux Etats-Unis, les avocats, les juges et les éducateurs en ressentent les conséquences. En France, ces séries ont peu de répercussions, hormis leur énorme succès.

Le héros des années 80 était un Kojak à la française, massif et sans états d'âme. Depuis que les télévisions commerciales traquent la ménagère de moins de 50 ans, elles fabriquent à la chaîne des commissaires en jupon sensibles, compétentes et courageuses auxquelles il est si facile de s'identifier.

Si vous trouvez chaque soir votre fille de 12 ans scotchée devant "Hélène et les garçons" ou "Premiers baisers", ne vous affolez pas. Ne sortez pas votre Dolto. N'appelez-pas SOS-Parents-Assistance. Lisez plutôt ceci...