Les hommes sont-ils seuls responsables du réchauffement planétaire observé depuis plus d'un siècle ?

Le Soleil est peut-être légèrement plus gros qu'on ne le pensait. Une nouvelle méthode de mesure, plus précise, lui a fait gagner 3 000 km. Philippe Lamy, premier auteur de cette étude, y voit l'opportunité de déterminer enfin si notre étoile subit d'infimes variations de son diamètre au cours de ses cycles d'activité.

Oui, mais ces variations sont trop faibles pour expliquer le réchauffement actuel.

L'astre du jour connaît actuellement un minimum d'activité comme il n'en avait pas vécu depuis 100 ans et que personne n'avait prévu. Une torpeur qui met au jour les limites actuelles dans notre compréhension de la structure intime de notre étoile

Après deux ans de sommeil, notre étoile connaît un regain d'activité. Selon les prévisions, le pic devrait être atteint en 2013. Mais l'astre du jour devrait aussi se montrer bien moins turbulent que lors des précédents cycles.

Nous vivons tout près d'une étoile ! Tandis que les ressources énergétiques de notre planète s'amenuisent, et que s'impose la nécessité de réduire nos émissions de gaz carbonique, n'est-il pas temps de s'en souvenir ? Le Soleil, chaque jour, nous inonde d'énergie. Pour en profiter pleinement, nous devrons apprendre à mieux la capter, et surtout surmonter quelques obstacles.

Sous sa surface bien lisse, notre étoile dissimule une immense chaudière où des millions de tonnes d'hydrogène sont enfournées chaque seconde. Eruptions, protubérances, arches magnétiques sont autant de conséquences de son tempérament de feu.

Le Soleil nous inonde de sa lumière depuis des milliards d'années. C'est l'étoile que nous connaissons le mieux car elle est la plus proche de nous.

L'activité du Soleil varie en suivant un cycle de 11 ans. On sait qu'elle est actuellement proche du maximum. Mais comment peut-on mesurer le niveau d'activité de notre étoile depuis la Terre ? Et quelles sont les conséquences sur notre planète d'un maximum solaire ?

Chaque nuage de particules énergétiques éjectées par le Soleil arracherait plusieurs centaines de tonnes de matière à la surface de la Lune.

Oui. Dans cinq milliards d'années, il se transformera en géante rouge, puis en naine blanche, qui se refroidira lentement.