Analyse du possible développement de la financiarisation du capital humain qui consisterait pour des investisseurs à miser sur un professionnel prometteur côté sur un marché spécifique et à toucher le montant de leur capitalisation. Un phénomène qui émerge avec des sites de financement participatif, tels qu'Upstart aux Etats-Unis, sur lesquels ce n'est plus projet qui est vendu aux investisseurs mais l'individu.

Grèves, manifestations, barrages de routes, l'envolée du prix de l'or noir fragilise les plus démunis, plonge dans la crise les pêcheurs ou les routiers. Les spéculateurs sont devenus le bouc émissaire de ce troisième choc pétrolier. Mais ils ne sont pas les seuls à en profiter.

L'article de Jacques Bichot que nous publions ici se veut résolument provocant et nous interpelle utilement sur l'étrange fonctionnement des économies modernes. Il montre, en effet, que Bernard Madoff a été un illusionniste de grande envergure, sachant ériger les pyramides de papier d'une manière lumineuse et sans doute très révélatrice d'une pratique finalement assez courante.

Le groupe sidérurgique traite ses hauts-fourneaux lorrains comme une variable d'ajustement. Leur sort semble aujourd'hui suspendu aux subventions...

Les millionnaires asiatiques veulent s'offrir les meilleurs vins de Bordeaux. Cette demande inextinguible, qui porte sur un très petit nombre de bouteilles, fait flamber les prix. Et génère pour les châteaux les plus prestigieux des profits faramineux, que nous dévoilons ici en exclusivité.

Quatre ans après le début de la crise des subprimes, trois ans après la faillite de Lehman Brothers, un an et demi après le premier plan de sauvetage de la Grèce, la crise semble s'installer.

Ce n'est ni un faux repenti faisant semblant de regretter ses millions d'euros de primes ni un fier-à-bras narguant le monde du haut de sa batterie d'écrans d'ordinateurs, mais ce trader dévoile les coulisses et les dérives des marchés financiers qui ont créé le plus grand cataclysme financier depuis un siècle

Malgré la crise, la folie financière continue. Les fonds à risque et les banques, hier sauvées par les gouvernements, spéculent à présent sur les dettes d'Etat, à commencer par celle de la Grèce...

Dans un livre à grand retentissement, un bon connaisseur des milieux financiers accuse les marchés d'être truqués et lance le débat sur cette énième innovation qu'est le trading haute fréquence, où des fortunes se jouent en une ou deux millisecondes. En retraçant l'histoire vraie d'un opérateur en rébellion contre ces méthodes sophistiquées qu'il juge toxiques, il séduit les critiques de Wall Street, mais ne va pas au bout de sa démarche.

Les marchés de crédit et de dérivés tendent à plus de transparence. Les marchés de capitaux prennent le chemin diamétralement opposé.