Nouvelles technologies, marketing, offre et demande, concurrence... A bien des égards, en Afrique aussi, les relations tarifées ressemblent de plus en plus à un business comme un autre. Enquête sur le plus vieux métier du monde à l'heure du numérique et de la mondialisation.

Aujourd'hui omniprésents, les nouveaux médias, comme les smartphones et les tablettes, sont à l'origine de changements dans la manière dont nous appréhendons l'information et dont nous communiquons entre nous. Souvent, ces changements sont soit accueillis avec une grande foi dans la force de démocratisation et d'émancipation des nouveaux médias, soit refusés par crainte qu'ils ne nous imposent des limites ou nous rendent esclaves.

L'avènement des smartphones et le flux ininterrompu des fils d'actu façonnent nos gestes et notre rapport au temps, intensifiant cet étrange sentiment : la peur constante de manquer quelque chose.

L'information est une donnée précieuse en économie, surtout dans un environnement concurrentiel. Le besoin de s'informer ou de transmettre des informations est en effet essentiel pour les entreprises, comme pour les organismes publics. En revanche, la nature de la circulation de l'information diffère selon le secteur d'activité. Dans la finance, elle doit nécessairement se faire en temps réel. Dans l'industrie lourde, le temps de fabrication d'un appareil, un avion par exemple, étant de plusieurs décennies, les informations se transmettent entre générations d'ingénieurs.

Les Français se sentent coupés de leurs terroirs par une modernité désincarnée. Une situation qui assèche leur élan vital.

Loin des clichés classiques d'une adolescence tourmentée, les jeunes d'aujourd'hui sont moins enclins aux excès hédonistes que leurs prédécesseurs. Dotés d'une maîtrise sans précédent des nouvelles technologies, ils ont beaucoup à apprendre à leurs aînés. Leur manière de se défouler sur les réseaux sociaux marque avant tout une rupture avec les sous-cultures musicales et vestimentaires du XXe siècle.