Analyse des ruptures historiographiques qui définissent l'histoire des sciences, considérées ici comme domaines de la connaissance. A partir de la notion d'actes et de seuils épistémologiques définie par G. Bachelard, et de celle de déplacement et de transformation des concepts de G. Canguilhem, le philosophe examine les enchaînements et les hiérarchies qui façonnent l'actualité du savoir.

Réflexions ludiques sur la nature labyrinthique du savoir. Composé de six textes, ce recueil interroge la philosophie, la science mathématique et la langue et paraît à l'occasion de la participation de l'auteur à la Biennale de Venise 2007, pavillon belge.

Présente l'histoire de l'épistémologie et les différentes théories philosophiques et scientifiques de la connaissance.

Un questionnement sur les moyens de la connaissance, son sens et les rapports qu'elle peut avoir avec la vie.

L'ouvrage refuse la réponse contextualiste et relativiste à la question de la connaissance. L'individu sait, mais n'a pas besoin de savoir qu'il sait, selon l'auteur. Il replace la notion de connaissance, plutôt que celle de la croyance, au centre de l'épistémologie et reformule des questions traditionnelles, comme celles de la nature de la perception, du témoignage et de la connaissance a priori.

Comment expliquer les convictions morales? Pourquoi ce qui est considéré ici comme bon est-il traité là comme mauvais? Ce livre propose un chemin vers une détermination objective de la vérité et du bien moral, rompant avec le relativisme cognitif et moral.

Une réflexion sur le savoir, l'acquisition des connaissances, etc., à travers une histoire dont le lecteur est le héros, des commentaires d'images et de citations de philosophes, des bandes dessinées, des jeux et des tests.